Cheat-Code - LvL 04: Boss Fight
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
Contrôle Mental,
Auteur: byBen_Clover, Source: Literotica
... m’enserraient à chaque pénétration et se relâchaient lorsque je ressortais presque complètement. Ses longs gémissements, qu’elle parvenait à garder en sourdine, s’amplifiaient au rythme de mes coups de bassin. La jauge se remplissait de concert. 65%, 75%, 85%. Mon énergie vengeresse et mon désir brutal semblaient compenser admirablement mon manque total d’expérience. Du moins, j’espérais que l’Interface ne me donnait pas de coups de pouce en jouant avec le cerveau de ma patronne. Je n’avais rien contre tricher, mais pas pour tout ! Ses jauges de plaisir et de douleur atteignaient presque les 100%. Humiliation trainait à 65%.
« Insulter. » lança soudainement l’interface.
— T'aimes ça hein… espèce d’idiote ! crachais-je, complètement pris de court.
— Hey, mais ça va pas ! lança-t-elle, son regard noir rivé sur moi.
La jauge rose retomba à 75% et clignota en rouge. Merde !
« Suggestion ? » proposa l’Interface.
Je criais mentalement « Oui s’il te plait ». Elle me proposa une série de trois phrases dont la seule lecture fit rougir mon âme de prude. J’optais pour :
— T’aimes ça te faire défoncer comme une chienne par ma grosse queue ?
Je passais sur l’irréalisme flatteur concernant la taille de mon sexe, seule m’importait la réaction de la beauté sous moi. Je la sentis frémir le long de ma verge sous l’assaut de mes mots. Bon sang, sa petite chatte était un véritable délice. Elle pulsait comme pour me caresser de l’intérieur. La jauge dépassa les 85%.
— ...
... Je t’ai pas entendu ? continuais-je, suivant le script suggéré. T’aimes ça de te faire prendre comme une pute par ton petit stagiaire ?
— Oh oui, j’adore ça, admit-elle dans un murmure entre deux gémissements.
Nouvel étau autour de mon sexe, nouvelles pulsations. À ce stade, je me retenais de jouir par la seule force d’une volonté que je ne me connaissais pas. 95%.
— Faut vraiment être une grosse cochonne en manque pour se faire déchirer comme ça dans son propre bureau.
Ma patronne contenait de moins en moins ses gémissements et, ne voulant pas répéter le fiasco des toilettes, j’arrachai une main de sa poitrine et la plaquait fortement contre sa bouche. Son souffle saccadé me poissa les doigts alors que son regard de défi me réchauffait les reins.
— J’en ai rien à foutre du plaisir que tu prends, je vais juste gicler dans ta chatte de salope, que tu sentes bien toute la journée comme je t’ai souillée comme la catin que tu es !
Cette provocation me parut un peu violente. Je n’étais même pas sûr de savoir comment j’avais pu la prononcer sans l’agrémenter de deux trois excuses. Mais son effet fût fulgurant. La jauge d’humiliation explosa à 100%. Elle gémit puissamment et tout son corps convulsa. La barre rose se remplit au maximum avant d’exploser dans un clignotement blanc qui me brûla presque les rétines.
N’y tenant plus, je libérais enfin la syncope de mon plaisir. Une chaleur intense prit forme dans mon scrotum avant de se déverser puissamment, inondant ...