Shopping entre filles - Histoires de Sexe

Shopping entre filles

... cette scène torride avait émoustillé mes sens. Je les désirais encore.

— Je me sens gourmande les filles, leur dis-je. Mettez-vous côte à côte. Vous venez juste de jouir alors je sais que votre chatte déborde de jus, et ce jus je le veux dans ma bouche…

Alors j’entrepris de les manger l’une après l’autre. Ma bouche allait et venait d’une chatte mouillée à l’autre. Mes lèvres et ma langue n’en finissaient plus de faire gémir ces dames. Bientôt elles y allèrent de leurs préférences.

— Suce-moi plus fort, m’ordonna Alicia en m’empoignant les cheveux avec force.
— Liche-moi partout, liche-moi partout, répétait Sylvie, haletante.

Elles semblaient frustrées quand je m’interrompais pour aller dévorer le minou trempé de l’autre. Elles s’échangèrent donc le vibrateur pour combler la frustration que je leur imposais. Je trouvais que c’était bien peu payé pour tout ce qu’elles m’avaient fait subir un peu plus tôt. Ça m’excitait de contrôler le plaisir de ces deux femmes insatiables. Je m’accroupis afin de pouvoir caresser la vulve enflammée de Sylvie avec la pointe mon téton dressé, m’attardant sur son bourgeon gonflé.

— Hum, continue Mélo !

Sa mouille enroba mon sein et je l’approchai de sa bouche.

— Goûte comme ton jus est délicieux ma chérie, lui dis-je.

Elle prit mon sein dans sa bouche et le téta avec appétit.

— Moi aussi je veux que tu me masturbes avec ton sein, c’est mon tour ! réclama Alicia.

Je m’installai donc pour frotter mon sein avec force ...

... sur sa chatte brûlante. Elle cambrait ses reins et poussait des cris de délire.

— Tiens ma petite salope, régale-toi, lui dis-je en offrant mon sein à sa bouche.

À grands coups de langue elle récolta toute sa sève. J’aurais bien voulu que mon mari assiste en spectateur à cette orgie féminine. Serai-je capable de bien lui décrire toutes nos perversions ?

Nos corps à toutes les trois réclamant encore la jouissance, nous nous installâmes à genoux jambes écartées. Nous pûmes ainsi nous branler l’une l’autre, nous embrasser, nous caresser. Une bouche ou deux sur un cou, les doigts se démenant d’une fente à l’autre, lichés par soi ou les autres, les seins se pressant, se goûtant, aucune limite n’était envisagée dans cette quête au plaisir ultime. Nos orgasmes furent bruyants et intenses. Nous nous étendîmes et restâmes blotties toutes trois, jambes et bras entremêlés, un long moment après nos ébats. Seuls nos baisers brisaient le silence.

— Nous devrions essayer nos sous-vêtements maintenant Sylvie, finis-je par dire. Il va bientôt être l’heure qu’Alicia ouvre la boutique.
— D’accord, on est venus ici pour ça non, reprit Sylvie dans un soupir.

Alicia nous aida donc à enfiler nos ensembles. Nous étions sublimes. C’était le succès assuré auprès de nos maris. Alicia voulu nous faire cadeau de nos trouvailles, mais nous refusâmes, ne voulant pas lui causer de problèmes. Nous payâmes donc nos achats puis nous prîmes congé de notre fureur rousse. Le magasinage était fini, ...