Shopping entre filles
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
fh,
fff,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
fgode,
jouet,
québec,
fbi,
Auteur: Mélodie, Source: Revebebe
... voir, j’ai trouvé quelque chose pour toi.
Elle arriva prestement, tenant dans ses mains une nuisette noire diaphane, que je devinai être pour moi.
— Tu as raison, il est splendide, dit-elle en palpant le tissu délicatement.
— Il va mettre tes seins en valeur, ajoutai-je en plaçant la brassière devant elle.
J’avais dangereusement envie de les toucher, ces seins ronds et pleins, mais je constatai que la vendeuse avait les yeux rivés sur nous.
— Regarde ce que j’ai déniché pour toi, dit alors Sylvie.
Elle me montra alors la nuisette noire qu’elle tenait dans ses mains. Elle était entièrement translucide et était accompagnée d’une petite culotte tout aussi révélatrice.
— Je pense que, si jamais j’achète ça, mon mari ne me la laissera pas longtemps sur le dos, dis-je en riant.
— Je comprendrais pourquoi, rétorqua Sylvie son regard plongé dans le mien.
La vendeuse se leva alors de sa chaise et se dirigea vers nous. Elle balançait ses hanches en marchant. Sa chevelure, ondulée et abondante, était rousse et lui tombait à la moitié du dos. Elle portait une mini jupe de cuir noir et un chandail blanc, très ajusté. Son soutien-gorge de dentelle blanc ressortait de son interminable décolleté. Sa taille était fine, ses fesses rebondies, et elle avait des seins énormes. Arrivée à notre portée, elle nous dit de sa voix enjouée :
— Tout va bien mesdames ? Je vois que vous avez trouvé quelque chose… l’une pour l’autre ? … Ça ne me regarde pas, hasarda-t-elle, mais… ...
... êtes-vous des petites copines ?
— Non, nous sommes mariées, expliqua Sylvie en riant nerveusement. Mais nos maris nous ont envoyé magasiner toutes les deux aujourd’hui, histoire d’être entre filles.
— Je vois, dit-elle d’un ton amusé. Vous avez l’air de vraiment bien connaître les goûts l’une de l’autre. Vous avez fait de très beaux choix. Prenez votre temps pour les essayer, rajouta-t-elle, sourire aux lèvres, en retournant à son comptoir.
Nous nous dirigeâmes donc vers les cabines. Nous en choisîmes deux situées au bout du corridor. Elles se faisaient face et étaient près d’un grand miroir à trois côtés. J’entrepris de déboutonner le devant de ma robe. S’attendait-elle à ce que je parade devant elle dans ma nuisette ? Devais-je lui demander de me montrer si sa brassière lui allait bien ? J’étais à peu près certaine qu’elle aussi avait envie de moi, mais comment en venir sur ce terrain ? La dernière fois, lors du souper chez eux, nos époux avaient tout orchestré et l’alcool avait eu raison de notre pudeur. Mais là, nous étions seules toutes les deux, confrontées à notre désir. C’était assez intimidant. Soudain j’entendis un « merde » excédé.
— Qu’est-ce qui se passe Sylvie ? demandai-je en riant.
— Ma fermeture est coincée, je n’arrive pas à enlever mon foutu bustier ! explosa-t-elle.
— J’arrive à la rescousse, dis-je amusée en sortant de ma cabine, ma robe à moitié ouverte, dévoilant ma brassière de satin couleur perle.
Elle s’était avancée au centre de l’allée, ...