1. Je me fais défoncer par mon oncle (18)


    Datte: 19/06/2018, Catégories: Trash, Auteur: tomflavie, Source: Xstory

    À 18 ans, je n’étais pas très délurée, j’étais assez timide et je n’avais pas de petit ami. Avec Jacques, j’étais en sécurité. Lui, de trois ans mon aîné, était presque aussi timide que moi et n’avait pas encore d’amoureuse. Donc, nous découvrions ensemble, à un âge assez « avancé » selon les standards des jeunes d’aujourd’hui, les choses du sexe.
    
    Malgré notre timidité, je me déshabillais, sans gêne, complètement nue et je m’installais à côté de mon frère pour le branler. Ça lui permettait de toucher mon corps, ce que je n’empêchais pas, et en plus je commençais à trouver notre petit jeu secret très agréable.
    
    J’adorais la sensation de cette queue dure dans ma main, et combien elle était douce. J’aimais voir son prépuce venir recouvrir le gland et ensuite se retirer pour le faire apparaître à nouveau à mesure que ma main montait et descendait sur son manche.
    
    Il caressait mes cuisses, mes fesses rondes et mes gros nichons fermes. Il passait aussi sa main entre mes fesses et agaçait mon petit trou du cul avec un doigt pour ensuite se rendre à ma chatte dans laquelle il enfonçait la première phalange de son majeur. Ça me chauffait un peu, mais je n’osais pas lui dire de peur de gâcher son plaisir.
    
    Plus il me touchait et plus il déchargeait rapidement. Parfois, je commençais à le branler et dès qu’il touchait à mon cul, à ma chatte ou à mes nichons, il éjaculait en moins d’une minute.
    
    Plus les semaines passaient et plus je branlais la queue de mon frère, plus il me ...
    ... touchait et plus je commençais à trouver très agréable d’avoir son doigt qui pistonnait ma chatte. J’avais découvert un peu par hasard, (nous n’avions pas Internet à l’époque), qu’en mettant de la salive sur ce petit trou son doigt pouvait s’enfoncer plus tôt, plus facilement et de plus en plus loin en moi, et que ça ne me chauffait plus en attendant que la mouille fasse son apparition.
    
    Je trouvais tout aussi agréable d’avoir son doigt dans mon trou du cul que je sentais serré. Il l’enfonçait tous les jours un peu plus profondément jusqu’à ce qu’il ait complètement disparu dans mon trou à merde, et il le faisait aller en va-et-vient, ce qui me faisait branler sa bite avec encore plus de plaisir.
    
    Et puis un jour, enhardie par des sensations nouvelles que je découvrais pendant qu’il me doigtait, je me penchai et j’embrassai son gland. Mon frère fut surpris par ce baiser inattendu et me demanda de continuer de le lécher, ce que je fis tout en le branlant. Il commença à gémir d’une façon nouvelle. Il me demanda d’enfourner sa bite dans ma bouche et tout naturellement, je me mis à la sucer.
    
    Je cessai de le branler, et m’appuyant sur mes deux mains je fis descendre ma bouche sur toute la longueur de sa bite, sans m’étouffer, jusqu’à ce que mon nez soit collé sur son ventre. J’accélérai mon mouvement et Jacques gémissait de plus en plus. Ça commençait drôlement à m’exciter.
    
    Tout à coup, je vis son corps se raidir, l’entendis pousser un grognement et je sentis ma bouche ...
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