1. Une Situation de Voyeurisme


    Datte: 19/06/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    Alors que je n'étais qu'un grand adolescent en vacances chez un oncle dans une ferme en Corrèze, j'eus l'occasion de mieux me rendre compte de ce qu'était une femme et de découvrir quelques uns de leurs petits secrets, grâce à ma jolie cousine de 23 ans.
    
    Elle se nommait Jacqueline, mais nous l'appelions Linette. Fille de la maison, elle travaillait à la ferme paternelle. Mon oncle l'avait mariée à un travailleur agricole, homme laid, lourdaud, buveur et alcoolique... J'étais secrètement amoureux de ma jolie cousine et je ne manquais pas une occasion de mater ses jolies formes et d'essayer de percer à jour ses petits secrets de jeune femme.
    
    Souvent, après le déjeuner, pendant les grosses chaleurs de l'été, tandis que tous les bâtiments de la ferme étaient écrasés de soleil, au moment de la sieste des hommes, j'allais lire dans la grange aux foins. Là, je montais par l'échelle sur le galetas et je m'allongeais dans le foin pour lire tout à mon aise.
    
    Ce n'était pas tout à fait par hasard que j'avais établi là mon quartier général ; c'était en fait un bon observatoire. La jolie Linette y venait en effet, faire ses petits besoins. Il n'y avait pas de toilettes dans les fermes à cette époque et les femmes allaient satisfaire leurs besoins naturels où elles le pouvaient, notamment dans les bâtiments. J'ai surpris là, Linette de nombreuses fois...
    
    Elle entrait par la petite porte qui s'ouvrait comme une trappe dans le grand portail en bois de la grange. Elle venait ...
    ... toujours à peu près à la même heure : entre 14h et 14h 30, une fois son travail à la cuisine terminé.
    
    J'attendais sa visite, comme un rituel. Je cessais de lire quand arrivait 14h, l'esprit trop occupé par sa venue probable et pourtant non programmée. Enfin, j'entendais les gonds rouillés de la porte tourner en couinant et la silhouette de la jolie Linette s'encadrait dans la lumière crue de l'extérieur. Elle tirait la porte derrière elle, et se dirigeait vers le box aux canards qui piaillaient en l'entendant arriver. Comme beaucoup de lumière filtrait par le portail et par les 2 ouvertures hautes de la grange, celle-ci était plongée dans une demi-pénombre. Mes yeux étant accoutumés à cette semi obscurité, je voyais la jeune femme très distinctement.
    
    Elle allait donc toujours vers le même endroit tout près du box aux canards ; c'est-à-dire qu'elle faisait 7 à 8 pas depuis la porte (je les ai souvent comptés!) et là, prestement, alors qu'elle n'était pas encore tout à fait arrivée ni tout à fait en place elle relevait sa légère robe d'été jusqu'à la taille d'un geste bref mais très précis, toujours le même, en finissant de marcher... Puis, debout un court instant, elle baissait prestement sa culotte blanche jusqu'à ses genoux, écartait bien les jambes et surtout ses pieds, s'accroupissait et urinait longuement, avec délectation me semblait-il.
    
    Quel plaisir pour moi que cet instant volé, c'était comme si le temps s'arrêtait... Plus rien n'existait alors que Linette qui ...
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