1. L'art du bronzage


    Datte: 18/06/2018, Catégories: ff, fffh, vacances, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation massage, intermast, Oral préservati, pénétratio, fsodo, hdanus, hfff, Auteur: Mao-et-ses-tongs, Source: Revebebe

    C’est une belle journée qui s’annonce. Dans cette Provence que j’aime tant. Il fait chaud. Un léger mistral rafraîchit l’air, juste ce qu’il faut pour nous permettre de profiter d’un après-midi au soleil.
    
    Tôt ce matin, je prends la route pour rejoindre quatre amies pour une séance bronzette. J’arrive en milieu de matinée. Trois dorment encore, la quatrième m’accueille avec une joie non dissimulée. Elle m’enlace quelques secondes, le temps pour moi de plonger mon nez dans sa chevelure. Cette journée a un parfum délicieux.
    
    Nous nous asseyons autour d’un café, échangeant les dernières nouvelles. Midi approche ; l’une après l’autre, les trois belles au bois dormant se lèvent. Cheveux en bataille et t-shirt lâche pour seul vêtement, les odeurs d’agitations nocturnes pour me saluer. L’ambiance est détendue, sans embarras ni fausses pudeurs. Le repas est préparé avec nonchalance, toutes se relayent entre la douche et la cuisine pour me donner un petit coup de main. Un petit repas frais, de saison, accompagné d’un petit vin pour mieux supporter la chaleur… Le repas glisse tranquillement vers le café.
    
    14 h sonnent et ces dames s’en vont se mettre en tenue pour un après-midi bronzette. Je finis de débarrasser la table en attendant leur retour. J’installe les transats en direction du soleil lorsqu’arrivent quatre nymphes avec, pour seul vêtement, un simple string, le plus fin possible pour « limiter au maximum les traces de bronzage ». Seul représentant du genre masculin, je ...
    ... suis désigné « volontaire » pour les enduire de crème. Si je rechigne, ce n’est que pour la forme.
    
    Une fois qu’elles sont toutes installées, je me saisis du pot de crème au monoï et en prends une bonne dose pour en enduire la première. Elles me tournent toutes le dos, les yeux fermés. Pendant que je porte la crème à température du corps, je ne peux m’empêcher de contempler les leurs. Des grains de peaux si fins, quatre paires de fesses me regardent, des dos réclament mes massages et des cuisses, mes caresses.
    
    Je débute par les épaules, je descends le long de ce dos, lisse, doux et chaud. Je reprends un peu de crème et m’attelle à la lourde tâche d’enduire ce fessier parfaitement rebondi, ces cuisses charnues, ces jambes qui n’en finissent pas. Extérieur, intérieur, je ne me gêne pas pour faire remonter mes caresses jusqu’à effleurer cette vulve charnue. Je me rends alors compte de la chance que j’ai. Je les connais toutes depuis un bon moment déjà, je les ai toutes vues plusieurs fois, dont deux tout aussi peu vêtues et ce sans qu’il n’y ait jamais eu aucun désir particulier. Et aujourd’hui, de les voir si lascives, presque offertes, des centaines d’idées me passent par la tête. Pendant que j’étais dans mes pensées, j’en ai enduit deux autres sans presque m’en apercevoir. La dernière est le meilleur pour la fin.
    
    Un petit bout de femmes aux formes exquises, harmonieusement distribuées, au corps athlétique. Pour l’avoir déjà enduite par le passé, je connais bien son ...
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