L'écolière lubrique - Histoires de Sexe

L'écolière lubrique

... jus à bébé, éjaculat, et encore bien d’autres. As-tu déjà goûté ?
— Non, mais j’aimerais bien. J’ai demandé à maman si je pouvais sucer le zizi de papa, mais maman m’a dit que je ne pouvais pas, c’était réservé entre le papa et la maman. Je râle, je vais quand même essayer de faire comme maman à papa quand elle ne sera pas là. Je sais que papa est amoureux de moi, il me fait des petits bisous et tout plein de compliments.
— Ainsi, tu n’as jamais mis le sexe d’un homme dans ta bouche.
— Non et j’ai envie d’essayer. Pour avoir une meilleure note, je vais mettre votre zizi dans ma bouche et vous sucer. Je dois sucer combien de temps pour boire votre foutre ?
— Ce n’est pas une question de temps, c’est la manière dont tu vas me sucer qui va me faire jouir rapidement ou pas. Je suis tellement excité que cela risque d’être rapide. Maintenant, tais-toi et suce-moi !

Toujours agenouillée, je porte à ma bouche le membre bien raide de Monsieur le professeur. Je n’ai aucune idée de la manière dont je dois m’y prendre, j’ai vu comment maman faisait, je vais essayer de faire la même chose. J’ouvre grande la bouche, sors la langue et y dépose la queue que je dois sucer.

Voilà, je referme la bouche, la queue de Monsieur le professeur entre et sort au rythme de ma tête qui avance et recule. Je fais virevolter ma langue autour du gland et je salive abondamment pour rendre la fellation plus agréable. Je fais attention à mes dents pour ne pas abîmer le membre qui pénètre ma bouche. ...

... Monsieur le professeur me donne des conseils et me guide durant ma toute première fellation. Je suis contente, il a l’air d’apprécier, il gémit, il souffle et commence à trembler. Tout d’un coup, il se retire de ma bouche et m’ordonne de me relever. Je m’exécute.

— Mademoiselle Danielle, vous avez une bouche admirable. J’ai presque failli partir, mais c’est encore un peu trop tôt, j’ai bien envie de profiter de votre petite personne.

Il est devant moi, sa queue en dehors de son pantalon est toujours raide. Sa main gauche pétrit mon sein tandis que sa main droite caresse la chatte qui je dois l’avouer est tout à fait inondée de mouille, ce qu’il me fait remarquer d’ailleurs.

— Eh bien, jeune fille dévergondée, on dirait que tu aimes, tu es trempée comme une vraie salope, j’en ai même les doigts mouillés. Tu vas maintenant remonter ta jupe et me montrer tes dessous.

J’obtempère et remonte sur mon ventre ma mini, lui dévoilant ainsi mes trésors. À la vue de ma chatte poilue, il se lèche les babines et me fait un sourire qui en dit long.

— Oh que voilà une superbe chatte telle que je l’aime, tu es poilue, j’adore. Écarte un peu les jambes que je te doigte la chatte, j’en ai trop envie.

Et pendant qu’il se rapproche de moi, je sens ses doigts qui me caressent le minou et la fente par-dessus mon slip et mon collant mouillés de cyprine. Il se penche et à nouveau m’embrasse la bouche avec la langue. Je suis tellement excitée que j’en tremble. J’aime ses doigts qui ...