Après-midi
Datte: 17/06/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
forêt,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
extraconj,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... les hauts murs qui bordent la propriété, aucun danger.
Étonnamment, je lui tends sa veste qu’il pose sur le capot, me retrouvant à nouveau nue devant lui, sauf mes bas et mes talons-aiguilles bien arrangés par ma balade dans les bois. C’est après que je réalise que je lui ai obéi tout naturellement ! Max sort un mouchoir de sa poche et s’agenouille devant moi :
— Posez une main sur mon épaule et donnez-moi votre pied que je nettoie votre chaussure… Vous avez des sacrés talons quand même !
— Vous… vous n’êtes pas obligé…
— Tout le plaisir est pour moi… Voilà… l’autre pied, s’il vous plaît…
Une fois de plus, j’obéis ; mon autre chaussure redevient nickel. Juste avant de se relever, il dépose un baiser brûlant sur mon pubis ; j’en ai un savoureux frisson !
— Venez, que je vous fasse visiter. Il serait dommage que vous soyez vêtue : il fait si beau et vous êtes si belle !
— Ah oui ? Pourquoi êtes-vous habillé alors s’il fait si beau ?
— S’il n’y a que ça pour votre agrément…
Et il commence à ôter sa chemise !
— Non, non ! Vous pouvez rester habillé !
— Ah bon ?
Chemise largement ouverte, il m’entraîne vers la porte d’entrée. Perchée sur mes talons-aiguilles, je me dandine tant mieux que mal à ses côtés. Peu après, nous sommes dans son salon : c’est sobre mais bien décoré. Rien à redire !
— Vous désirez boire quelque chose, Valérie ?
— Vous avez duIce Tea ?
— Oui. Quel parfum ?
— Peu importe…
— Eh bien, je vous amène tout de suite votreIce Tea au ...
... « peu importe » !
Malgré la situation un tantinet ambiguë, je ne peux m’empêcher de sourire. Il disparaît dans ce que je pense être la cuisine. De là, je l’entends me dire :
— Asseyez-vous, je vous prie ; n’importe quel canapé ou fauteuil.
— Merci, Maî…
Je me retiensin extremis de dire « Maître ». Malheureusement pour moi, il rétorque, amusé :
— J’ai entendu !
— Vous n’avez rien entendu du tout, Max ! Dans vos rêves !
— C’est vous, mon rêve !
C’est avec stupéfaction que je le vois revenir nu dans le salon. Il n’y a pas à dire, c’est un bel homme qui s’entretient sportivement ! Ni trop, ni pas assez, bref, la faible femme que je suis en ferait bien son goûter ! Par contre, ce qu’il a entre les jambes – ou plutôt au-dessus des jambes – est peut-être un peu trop dressé !
Comme je me suis assise dans le canapé, il s’installe tout naturellement à côté de moi. Il me tend un verre :
— Excusez-moi de vous le dire ainsi, mais comme captive enlevée, je vous trouve bien téméraire !
— Comment ça ?
— Vous auriez pu rester debout, vous asseoir dans un fauteuil, vous enfuir même. Mais non, vous choisissez le canapé. C’est une claire invitation, non ?
— Aussi claire que vos intentions en étant nu juste à côté de moi.
— C’est vous qui m’avez suggéré l’idée, tout à l’heure, je vous signale !
J’évite de répondre en buvant une gorgée. Ça me fait du bien, un peu de fraîcheur. Décidément, il était prévu que le week-end soit plein de surprises ; mais là, ça dépasse ...