Léna (1/2) - Histoires de Sexe

Léna (1/2)

... soft, mais c’est ton style.

Nous en rions. La voir rire puis me prendre à nouveau en bouche, le sourire aux lèvres et le plus naturellement du monde, était un spectacle époustouflant.

— Tu veux faire quoi, après ? Tu veux qu’on aille manger ?
— Les hommes et la bouffe ! Il n’est que 19 h 30, dit-elle en regardant mon réveil. On a tout notre temps. La pipe c’était pour ton plaisir, en plus c’était ta première, mais aussi pour que tu puisses être plus endurant pour la suite. Pour les choses sérieuses, ajoute-t-elle avec son sourire malicieux. On s’y remet dès que ton petit soldat est de nouveau prêt. Tiens, d’ailleurs, je n’ai pas prévu de préservatifs assez grands, à mon avis.
— Ah oui ? dis-je, un sourcil levé par l’orgueil.
— Ne te la pète pas, Filo. Tu n’es pas non plus Rocco. Mais tant mieux. Plus, ce serait trop. Alors ? Tu en as ?
— Oui. J’ai prévu le coup.
— Je vois qu’on est sûr de soi !
— Vois ça comme une motivation. Maintenant qu’ils sont là, il va falloir les utiliser.
— Drôle de façon de convaincre une fille de coucher avec toi.

Puis elle ajouta après avoir léché un de mes testicules : « je suis pas une fille facile, tu sais ». Autre testicule, puis elle ajouta avec un clin d’œil : « sauf pour toi ».

Je sentais que cette petite conversation m’avait suffisamment reposé et stimulé à la fois. Une vigueur renouvelée vint redresser mon mât, en réponse aux attouchements de Léna. Une Léna qui s’en rendit bien évidemment compte.

Elle enleva son ...

... manteau en prenant soin de tendre sa poitrine pour qu’elle colle bien à sa robe. Une fois débarrassée de ce vêtement d’extérieur, elle s’immobilisa ensuite. Elle se tenait droite, à genoux, et me regardait dans les yeux. Elle attendait. La balle était à moi. La belle était à moi. C’était à mon tour de jouer. Mon cerveau réfléchit à toute allure pour trouver une suite à la hauteur.

— J’ai envie de te voir onduler et danser langoureusement pour moi, lui demandai-je sans réaliser que c’est exactement ce que je lui avais demandé lors de notre conversation sur Internet.

Sans un mot, son corps oscilla et elle entama une lente danse. Elle se remit debout. Ses mains la parcouraient sans jamais s’arrêter pendant qu’elle se déhanchait. De temps à autre, elles venaient accrocher sa robe et en entraînaient un pan, dévoilant sa cuisse. Elle continua son manège de plus en plus et je découvris peu à peu qu’elle ne portait pas de sous-vêtements. Exactement comme dans notre scénario sur le chat.

Mon érection fut donc totale, vous l’imaginez.

Je saisis Léna pour la faire asseoir sur moi. Son petit minou tout chaud et humide vint écraser ma verge. Elle se mit à faire des va-et-vient en avant pour caresser mon sexe avec le sien. Elle gémit en se mordant les lèvres.

Mes mains allèrent explorer ses cuisses avant de remonter vers ses fesses dont je pouvais toucher la peau nue. Je la pris dans mes bras pour l’enlacer et sa poitrine vint se presser sur ma gorge. Je sentais cette douceur ...