1. De délicieuses vacances (partie 3)


    Datte: 15/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DXD, Source: Hds

    ... plaisir monstre m'envahir, et poussai un cri pitoyable, qui tira à Katherine un sourire narquois. Elle accentua la puissance de ses coups de reins, ses hanches percutant les miennes avec force, me procurant une insupportable sensation de vertige, tant ce qu'elle me faisait était bon. Elle planta ses ongles dans mon torse, et tout en me baisant, se pencha vers moi pour me regarder bien droit dans les yeux, me faisant sentir, par son attitude, que j'étais à sa merci. Les minutes passaient, et elle continuait de me baiser, encore et encore, inlassablement, et moi, cloué au sol, je subissais, avec un plaisir croissant.
    
    La Suédoise se contenta pendant un bon moment de nous regarder, puis décida soudain de participer. Elle vint s'asseoir sur mon visage, et fit danser son merveilleux cul sur moi, m'obligeant à lécher son intimité. Pendant ce temps, elle embrassait Katherine, et les deux magnifiques créatures se carressaient et se frottaient l'une contre l'autre. Si un promeneur passait par là, il aurait eu une vision de rêve : deux belles sirènes s'embrassant avec ferveur à la lueur de la lune, tout en malmenant un « pauvre » gars dont elle se servait comme d'un jouet.
    
    Quant à moi, je décidai que puisque je n'étais qu'un sex-toy entre les griffes de ces deux belles, autant en être un efficace. Je m'attachais donc à procurer à la Suédoise un cuni des plus délicieux, faisant tournoyer ma langue, léchant et aspirant son clito. J'eus la satisfaction de bien vite l'entendre gémir ...
    ... et la sentir tremble au-dessus de moi. Quant à Katherine, elle continuait de littéralement me démonter, me donnant des coups de reins si sauvages, que j'en vibrais à chaque fois, mais serrant les fesses de la Suédoise pour m'aider à tenir, je tâchai de repousser au maximum le moment où j'allais jouir, histoire de faire durer encore et encore cet instant merveilleux.
    
    De longues et délicieuses minutes passèrent. Je perdais la notion du temps, tout ce qui comptait pour moi, c'était bouffer l'intimité de la Suédoise, encore et encore, tout en encaissant aussi bien que possible les coups de reins de Katherine. On se faisait tous les trois un bien fou, Katherine en me chevauchant, moi en léchant la Blonde, et la Blonde et Katherine s'embrassant et se caressant entre elles. Nous gémissions et vibrions tous les trois, nos corps se raidissaient, comme proches de l'explosion, et nous nous couvrions de sueur malgré le froid de la nuit. Notre triangle infernal et délicieux était probablement l'une des plus délicieuses choses que j'aie jamais faites, et ça ne pouvait finir que d'une seule manière : le plaisir nous submergea tous les trois, et chacun de nous eut un délicieux orgasme, qui fit crier les deux belles, et me fit me déverser en Katherine dans une sensation de vertige digne des meilleurs grands huit.
    
    Les deux belles s'effondrèrent sur le sable, haletantes, aussi ivres de plaisir que moi. On se pelotonna les uns contre les autres, et on resta un moment étendus sur le sable, ...