1. Un tramway nommé désir


    Datte: 15/06/2018, Catégories: fh, hh, hhh, fhh, couleurs, grossexe, train, fsoumise, hsoumis, intermast, fsodo, hsodo, aventure, héros, Auteur: Nicolas 2, Source: Revebebe

    ... se croisent, il passe sa langue sur ses lèvres, me confirmant si besoin que ses gestes n’étaient pas involontaires. Ce petit jeu continue jusqu’au prochain arrêt où il est obligé de sortir. Il rentre en faisant en sorte de se retrouver à nouveau collé à moi. Il vient se positionner devant moi, m’offrant son postérieur.
    
    – 4 –Je sens désormais ses fesses contre mon sexe. Les va-et-vient reprennent timidement et s’amplifient dès que la rame démarre. Mon sexe se tend irrémédiablement ; je lui fais comprendre mon désir en prenant ses hanches et en le collant à moi. Ses fesses viennent écraser ma queue, me faisant aussi comprendre son envie.
    
    – 5 –Les va-et-vient reprennent timidement et s’amplifient dès que la rame démarre. Je sens ses fesses rebondies se contracter, simulant le coït. Mes mains se sentent inexorablement attirées par ce postérieur musclé. Je pose une main sur une fesse, provoquant immédiatement une réaction de sa part. Je sens ses fesses se contracter ; je les imagine en pleine action. Une chaleur monte de mon entrejambe. J’ai envie de sexe, de toucher sa queue bien raide.
    
    – 6 –Je glisse ma main sur son jean pour trouver sa queue bien dure que je caresse immédiatement. Il m’aide en dégrafant ses boutons de jean. Ma main pénètre l’antre de la bête. Je trouve l’objet de mon désir ; mes doigts glissent sur son boxer le long de sa tige, provoquant des spasmes. Le rythme de ses fesses s’accorde avec les caresses de ma main. L’annonce du prochain arrêt stoppe ses ...
    ... mouvements. Il retire discrètement ma main, referme son jean, se retourne et me dit simplement « Suis-moi. », puis il sort dès la rame arrêtée.
    
    – 7 –Il a déjà pris une vingtaine de mètres d’avance, ce qui ne pourra éveiller les soupçons quant à ma « filature ». Il marche sur une centaine de mètres et entre dans un immeuble ; quelques secondes plus tard, j’y pénètre à mon tour. Devant moi, un escalier sur le côté et un long couloir menant à une cour où une porte est en train de se fermer. Je me dirige vers la cour moins éclairée que l’entrée et ouvre la deuxième porte, qui donne sur un autre couloir encore beaucoup plus sombre. J’y pénètre quasiment dans l’obscurité totale ; je fais quelques pas et m’arrête, ne discernant plus rien. Je sens un mouvement dans mon dos, un souffle sur ma nuque. Des doigts se posent sur mes avant-bras, glissent de haut en bas, me provoquant des frissons. Ses mains remontent le long de mes bras, passent sur mes épaules, massent brièvement ma nuque, descendent le long de ma colonne, font le tour de mes hanches pour venir dégrafer mon jean. Il le fait glisser à mi-cuisses et me chuchote à l’oreille : « Mets-toi à genoux… ». Sentant la chaleur en moi monter à cette situation de soumission, je m’exécute. Je me retrouve à quatre pattes dans le noir, les fesses offertes…
    
    – 8 –Je sens une présence devant moi. Une main vient se poser sur ma tête tandis qu’une queue vient taper mon visage, cherchant ma bouche. J’ouvre mes lèvres et attrape le morceau ...
«1234...»