1. Une journée qui commence bien


    Datte: 14/06/2018, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, jeunes, couplus, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, totalsexe, Auteur: Hagenragnard, Source: Revebebe

    ... dessus. Leurs bouches se rejoignirent, leurs cheveux s’emmêlèrent et nous n’entendîmes plus que murmures de plaisir et baisers mouillés. Les corps ondulaient sous le plaisir, et les mains ne cessaient leur ballet sensuel. Chloé pivota pour venir placer son sexe au-dessus de la bouche de son amie. Elle redressa le buste et la tête lorsqu’elle sentit la langue prendre possession de ses lèvres intimes, et poussa un feulement assourdi de plaisir. Elle ouvrit les yeux, nous aperçut, fixa ma main qui continuait son ascension et sa descente sur le sexe durci de Jean, nous sourit et plongea entre les cuisses qui lui étaient offertes.
    
    Je regardai Jean qui me fit un sourire long de promesses. Sa queue gonflait démesurément dans ma main et j’eus très envie de la recevoir en moi, dans ma bouche, dans ma chatte, dans mon cul. Voir Thipaine et Chloé me faisait mouiller abondamment ; Jean était très excité ; il fallait calmer le feu qui nous dévorait.
    
    Tout à leur plaisir et à leurs gémissements, les deux filles ne remarquèrent même pas que nous avions quitté la pièce. Dans le couloir, et après avoir refermé la porte sans faire de bruit, je me jetai sur les lèvres de mon homme, écrasant mon corps nu contre le sien.
    
    — J’ai envie de toi…
    
    Et sans lui laisser le temps de me répondre, je me saisis de son sexe pour le tirer à ma suite et l’emmener dans la chambre de nos hôtes. Un grand lit nous attendait et nous nous jetâmes dessus. Nous nous embrassâmes frénétiquement, avidement, ...
    ... grognant et se cherchant l’un l’autre. Nos langues s’enlaçaient pour mieux se repousser, nos bouches s’ouvraient désespérément à la recherche de celle de l’autre, nos lèvres s’écrasaient et se refermaient en de puissants baisers. C’était une étreinte bestiale, primaire, celle de deux corps assoiffés l’un de l’autre. Jean martyrisait mes fesses, son sexe poussait sur mon ventre, tandis que j’étreignais sa tête à deux mains, l’enveloppant de mes bras. Il saisit soudain mes cheveux pour les tirer vers l’arrière, arrachant ma bouche de ses lèvres si douces.
    
    — Bouffe-moi la queue.
    
    C’était plus un ordre qu’une supplique.
    
    — Tu aimerais que je mette ta queue dans ma bouche ? répondis-je avec un sourire coquin. Tu aimerais que je te suce et que j’avale ton sperme tout chaud ?
    
    Sans un mot, Jean se redressa légèrement pour se caler sur les oreillers. D’une main, il amena mon visage au niveau de son bassin tandis que l’autre guidait son sexe turgescent vers mes lèvres.
    
    Devant cette belle queue bandée, je ne pus m’empêcher d’émettre un grognement de satisfaction et me précipitai sur ce sexe qui me faisait tant envie. Je me jetai dessus et l’enfournai voracement, faisant aller et venir mes lèvres serrées à grande vitesse. Puis, m’installant à quatre pattes au-dessus d’une de ses cuisses, je fis remonter ma langue tout doucement, de ses couilles au gland, en le regardant dans les yeux. Je lus le désir chez mon homme, et me positionnant confortablement, je me mis à déguster son ...
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