Une journée qui commence bien
Datte: 14/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
ffh,
jeunes,
couplus,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
totalsexe,
Auteur: Hagenragnard, Source: Revebebe
... je tentai de m’écarter. Non, mais quel obsédé ! Il me retint avec sa main et m’attira à nouveau contre lui. Je n’eus pas le temps de réagir que déjà, il avait fait sauter l’agrafe de mon soutien-gorge et s’emparait de mon vêtement, le faisant tournoyer autour de son doigt avant de l’envoyer à l’autre bout de la pièce.
C’est à ce moment que la porte de la chambre s’ouvrit, laissant le passage aux deux filles. Je me mis au lit, l’air de rien, avec tout le naturel que je pus trouver, et laissai Jean et son érection à la vue de tous. Loin de s’offusquer, Thipaine et Chloé entrèrent, poussées par Christophe. Je remarquai néanmoins que notre petite brune ne lâchait pas du regard le sexe de mon mari, et qu’elle l’accompagna des yeux le temps qu’il vienne me rejoindre sous les draps.
Thipaine demanda si elle pouvait éteindre la lumière et, aucun de nous n’ayant formulé d’objection, elle fit pivoter le commutateur, nous plongeant dans la pénombre. La fenêtre n’ayant pas de volet laissait passer le clair de lune qui nous offrit un bien agréable spectacle d’ombres chinoises. Devant nous, les deux filles se déshabillèrent mutuellement. Les deux corps se faisaient face, à se frôler. Je pus apercevoir Thipaine faire glisser le petit top de son amie vers le haut, dévoilant une poitrine aux petits seins bien dessinés. Les gestes étaient lents et langoureux, et je sentis une légère tension érotique sourdre dans mon bas-ventre. Je crus entendre leurs sourires, mais Jean s’étant collé à ...
... moi et ayant posé sa main sur mon ventre, mon attention fut quelque peu perturbée.
Je ne quittais pas des yeux les deux corps devant moi et me délectais du spectacle. Chloé avait maintenant dégagé les épaules de Thipaine, et accompagnait la robe légère vers le bas, laissant bientôt à nu une poitrine aux tétons dressés. La situation m’excitait, et lorsque la main de Jean s’insinua entre mes cuisses, je les ouvris largement pour recevoir ses caresses. Maintenant nues, les deux filles se tenaient mutuellement aux hanches, s’effleuraient légèrement l’une l’autre, et laissaient pointer à tour de rôle une langue venant taquiner les lèvres qui lui faisaient face. Elles gloussèrent doucement lorsqu’elles entendirent le soupir qui s’exhala de ma bouche, après que Jean eut atteint mon clitoris. Elles disparurent alors de ma vue pour certainement se coucher sur le matelas. J’étais très excitée et les doigts de mon chéri me faisaient un bien fou.
C’est le moment que prit Jean pour me glisser à l’oreille :
— Tu t’occupes de moi ?
— Ils vont nous entendre, répondis-je le plus bas possible.
— Tu as raison, mon amour.
Et là, sa main abandonna aussitôt la douce moiteur de mon intimité. Alors que je tentai de la retenir pour qu’elle me dispense à nouveau ses bienfaits, il ajouta sur un ton presque narquois :
— Tu as raison, ma chérie, ils pourraient être choqués…
Le cochon ! J’étais très excitée et il ne voulait pas calmer mon ardeur. Il sait qu’en plus, je ne me procure pas ...