Jeux érotiques sur et aux alentours d'une plage naturiste - Histoires de Sexe

Jeux érotiques sur et aux alentours d'une plage naturiste

En ce début d’août, la température ambiante dans la région du Sud-Ouest enregistre des pics supérieurs à 28° C l’après-midi. La chaleur accablante se diffuse dans la maison et nous engourdit. Ma femme, Cécile, peu encline au farniente, réitère son souhait d’aller à la plage pour nous délivrer d’une torpeur trop pesante. Dans le coffre de la berline, elle dépose le parasol, les serviettes de bain, les chapeaux de paille, les crèmes solaires et une petite glacière pour la boisson et les fruits. Nous voici donc en route à destination d’une plage naturiste de la côte sauvage en espérant trouver la fraîcheur d’une brise marine. Sur les coteaux, les vignobles souffrent de la canicule : sécheresse de la terre au pied des ceps et jaunissement des feuilles. En approchant de l’océan, nous traversons une pinède peuplée d’arbres conifères qui semblent mieux résister à la chaleur estivale.

La voiture garée sur une zone sableuse protégée, nous prenons un chemin de traverse pour rejoindre la plage cachée par un talus. L’odeur d’iode et le bruit du ressac des vagues nous confirment que nous sommes au bord de l’océan. Cécile, habillée d’un paréo blanc, cueille une fleur rouge près d’un chardon et la fixe dans sa chevelure blonde. Nous prenons un sentier étroit pour franchir le talus et marchons sur la dune parsemée de chiendent et de joncs. Sur le haut de plage en bordure de la dune, les naturistes sont dispersés sur le sable blanc. Ma femme choisit une place à équidistance raisonnable ...

... entre deux couples et me demande d’installer le parasol entre nos draps de bain. Au loin, l’océan azur se fond dans le bleu du ciel.

Nous ôtons nos vêtements, prenons nos chapeaux et nous nous allongeons nus sur nos serviettes rouge coquelicot. Bronzé intégralement, le corps de Cécile est un délice au regard. Un torse élancé avec des seins fermes, un ventre plat façonné par le sport, de longues jambes galbées. Ma femme me tend la crème protectrice dont je mets deux noix au creux des mains. Assis sur les cuisses de Cécile, j’étends le produit sur le cou, les épaules, le dos et les fesses rondes. À genoux entre les jambes, j’enduis également les mollets et les cuisses en imprégnant bien la peau de la crème solaire. Remontant dans l’entrejambe, je caresse subrepticement les grandes lèvres du sexe, ce qui provoque une petite érection de mon membre. Mon travail achevé, je m’allonge sur le ventre pour cacher ma bandaison aux voisins. Avec ses grands yeux verts, ma femme m’observe en souriant de ma gêne passagère.

Un petit vent agréable rend la sensation de chaleur plus supportable. J’observe nos voisins de plage et constate la diversité des silhouettes féminines : haut du corps, épaules larges et poitrine volumineuse ; taille et hanches petites ; bas du corps plus large que le haut du corps ; épaules étroites, poitrine petite, hanches larges, fesses arrondies ; longiligne avec petite poitrine et fesses plates. Nombre de femmes ont le sexe épilé, façon petite fille. Les autres ...