1. Caroline et la famille (9)


    Datte: 13/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Caroline1992, Source: Xstory

    ... la même intensité.
    
    — AILLLLLLEEEE ! AILLLLLEEEEEEEE ! criais-je à chacun de ses coups de ceintures sur mes fesses.
    
    Mes cris de douleurs ne semblaient pas l’affecter. Le sixième coup de ceinture que je recevais et avec la douleur qui s’additionna me fit instinctivement mettre ma main sur mes fesses en guise de protection.
    
    — Tu rigoles là, Caroline ?! Je t’en ai mis que 6 je crois, me dit-il.
    
    Etant toujours obstinée à lui montrer que j’étais une personne forte, je serrai mon débardeur avec mes dents et retira doucement ma main de mes fesses. Je le vis lever le bras tout aussi haut qu’auparavant, et il enchaîna plusieurs coups de ceintures en y mettant toutes ses forces. J’avais râlé fortement à chacun de ses coups en marmonnant dans ma bouche, mais j’avais réussi à ne pas crier ce coup-ci. Mes cheveux dissimulaient les gouttes de larmes qui coulèrent le long de mon visage. Même si je faisais forte tête, je savais que je ne te tiendrais pas quelques coups supplémentaires. Je lâchai le débardeur d’entre mes dents et lui dit :
    
    — C’est bon maintenant, Papa ! Tu m’en as mis 10.
    
    — C’est à moi de décider quand ta correction sera finie, Caroline ! me dit-il en armant encore son bras bien haut.
    
    J’ai vu qu’il s’empressa de me mettre un coup de ceinture avant que je ne puisse remettre mon débardeur dans ma bouche et je me mis à hurler immédiatement après avoir reçu le choc :
    
    — AIIIIIIIIEEEEEEE ! ... ARRETE CA, PAPA ! CA FAIT TROP MAL LA CEINTURE !
    
    Mon père ...
    ... enleva son bras qui enveloppait mes hanches et posa sa main sur mon dos.
    
    — OK. Tu préfères que je te donne de vraies fessées alors ? Uniquement avec ma main ? me demanda-t-il.
    
    — Oui, lui dis-je d’une voix fébrile.
    
    Je sentais mes fesses brûler et que celles-ci devaient être fort rouges sous mon jeans vu la douleur insoutenable que je ressentais. Mon père me mit une petite fessée sans me faire mal pour attirer mon attention et il arma à nouveau le bras bien haut. Il me mit une grosse fessée sur la fesse gauche, puis une autre sur la fesse droite me faisant serrer les fesses chacune à leur tour. Avec les deux fessées qu’il venait de me mettre, j’avais l’impression qu’il voulait juger ma résistance. Il marqua un petit temps de pause pour reprendre son souffle, ce qui s’annonça mauvais pour moi, et il m’infligea une trentaine de fessées à une vitesse fulgurante qui me fit pousser un cri aigu et continu :
    
    — HHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA...
    
    Le timbre de ma voix oscillait en montante et en descendante à chacune des fessées que je recevais. Mes jambes s’étaient levées durant la succession de fessées qu’il me donna, et aussitôt retombaient quand il arrêta.
    
    Je l’entendis reprendre son souffle comme s’il préparait un second acte. Ne pouvant pas supporter une deuxième valse de ce genre, je me mis à lui supplier en pleurant :
    
    — Arrête, Papa !... J’ai compris la leçon... Je ne veux plus de fessées... Je t’en prie... » sanglotant à la fin de chaque phrase.
    
    Je venais de ...