Kabir, maman et moi (1)
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: lo1ka, Source: Xstory
... cours à huit heures demain ? Va donc te coucher pour te réveiller en forme ! me dit-elle la voix chancelante.
Avant d’avoir eu le temps de répondre, Kabir grogna :
— Arrête tes foutaises, laisse ton fils s’amuser et regarder le film ! Lolo, assieds-toi et laisse pas ta salope de mère te marcher sur les pieds.
Kabir, qui avait déjà enfilé la capote, frottait sa bite vigoureusement contre le vagin de ma mère et menaçait de s’y introduire à tout moment. Ma mère, affolée, saisit brusquement de sa main la bite de son homme pour l’empêcher de s’introduire une nouvelle fois, au risque d’encaisser sur ses fesses des claques encore plus violentes.
— Kabir, pas devant Loïc, supplia-t-elle.
Mais Kabir avait immobilisé les bras de ma mère, et entreprit des va-et-vient violents dans son vagin. Les gémissements de plaisir de ma mère, couplés au son des couilles de Kabir qui butaient contre cul, rendaient le film inaudible. Le plaisir de ma mère semblait freiné par l’inquiétude qu’elle avait à mon égard. Moi, son fils, en train de regarder ma mère prendre une queue dans le salon comme une salope. Mais à ce moment-là, j’aurais aimé pouvoir lui signifier qu’elle n’avait pas à s’en faire. Je ne suis plus un adolescent, j’ai vingt-deux ans, et je ne risque pas d’être traumatisé à vie. J’étais aussi habitué au comportement de Kabir, et l’acceptais volontiers si cet homme arrivait à rendre ma mère heureuse. Je me rassis sur mon fauteuil et sentit une bosse dans mon pantalon ...
... grossir au fur et à mesure des gémissements que ma mère émettait.
Tout à coup, les gémissements de ma mère s’interrompirent. Kabir s’était presque retiré de son vagin, il n’avait maintenu que le gland à l’intérieur. Il se pencha vers le visage de ma mère et l’étrangla.
— Qu’est-ce qu’on dit ? lui glissa-t-il.
— Mmm... s’il te plaît, répondit ma mère qui se tortillait d’envie et qui, désormais, poussait ses fesses vers Kabir dans la tentative désespérée de remettre son chibre à l’intérieur.
— Et qu’est-ce que tu es ? Dis-le ! ordonna Kabir en resserrant encore plus son étreinte sur le cou de maman.
— Ta pute, je suis ta pute, lui répondit-elle dans tous états.
— Lolo, t’as entendu ça ? Qu’est-ce que ça fait de toi du coup ? me demande-t-il avec un air amusé, cette fois-ci en me regardant les yeux et en giflant ma mère nonchalamment.
— Un fils de pute ? répondis-je, évasif.
Kabir éclata de rire. Il sembla revigoré par l’amusement que lui a procuré ma réplique et se réintroduit violemment dans la chatte de maman qui était au septième ciel.
— Ton fils est une perle, Sylvie, t’as d’la chance d’avoir un fils comme ça, dit-il en baisant ma mère plus fort que jamais.
Kabir ramona ainsi ma mère pendant une bonne dizaine de minutes puis, pris d’un spasme, il lui ordonna de se mettre à genoux et de tirer la langue. Maman s’exécuta, et son obéissance fut récompensée par une épaisse giclée de sperme qui recouvrit son visage, sa bouche et ses cheveux. Kabir poussait ...