Sortie - Histoires de Sexe

Sortie

... besoin d'une queue dans le trou du cul. C'est bon mon doigt dans le cul mais une bite c'est plus gros, c'est plus long. J'en ai envie. Hou! J'ai envie d'un garçon dans mon cul! C'est bon dans le trou du cul. J'ai envie d'une queue dans mon cul, ses cuisses contre mes cuisses, ses couilles contre mes fesses. Enculez-moi mes amours, je veux jouir du cul! Regardez mon trou du cul, je vous le donne...
Les yeux fermés, il agitait sa main entre ses cuisses, le cul serré, les fesses crispées, jouissant de sa pénétration anale. Il retira son doigt, se tourna vers Paul et lui caressa la verge et les testicules. Paul lui rendit la politesse et commenta en serrant fortement sa verge dure:  
-  Tu vois Nico, on se tient par la queue. On aime bien être nus, nous regarder bander et caresser nos corps : on se touche les cuisses, la queue, les couilles, le cul, les fesses, les tétons… On bande tous les deux et on se masturbe ensemble…Tu vois ? je lui caresse la queue et ça le fait triquer et moi ça me fait bander aussi. C’est bon d’avoir la queue bien raide, de se branler ensemble la queue, de se caresser les couilles, les cuisses, les fesses, la raie  et le trou du cul. J'aime tellement sa queue et son cul et ses couilles de mon bel homo chéri de ma queue!...
	En parlant il joignait les gestes à ses paroles ; ses mains parcouraient la nudité d’Antoine qui lui souriait, écartait ses cuisses, tendait son ventre en avant et soupesait ses testicules. Nicolas les contemplait tout deux, ...

... indécis et un peu interloqué mais visiblement intéressé par ces deux nudités athlétiques et complices qui se caressaient mutuellement le sexe et s'enlaçaient sans complexe devant lui. Paul reprit la verge d’Antoine, l’enserra tendrement, souleva les testicules en souriant tandis qu’Antoine écartait ses cuisses et tendait son bassin en avant, s’offrant à la caresse et soupirant de plaisir. Puis Paul le laissa et commença à se masturber lui-même. Antoine souriait, la verge dressée ; il mit ses mains sur ses seins et caressa ses tétons. Au bout d’un moment sa verge se dressa et pointa fièrement en l’air. Il écarta ses cuisses et tendit son ventre vers les garçons.  Paul arriva au même résultat avec sa main. Nicolas était fasciné par le spectacle des deux hommes nus qui exhibaient fièrement leurs splendides érections devant lui, se masturbaient et se caressaient sans la moindre gêne. Souriants, ils s'approchèrent de Nicolas et sans se concerter, se mirent à le dévêtir lentement. Paul enleva son polo, tandis qu'Antoine, à genoux, dégrafait son pantalon et le descendait sans hésitation. Nicolas, résigné, gêné, peut-être,  mais surtout excité par le désir naissant, se laissait faire, se prêtant lentement à l'effeuillage dont il était la victime de plus en plus consentante. Comme détaché, il regardait les gestes de ses deux compagnons nus qui découvraient son corps; il était fasciné par leur propre anatomie, le jeu lascif des muscles, le contact voluptueux de leurs épidermes, leurs ...