Sortie - Histoires de Sexe

Sortie

... transfiguré, il jouissait sans vergogne devant le garçon et la fille accouplés. Un dernier flot de sperme fila droit sur elle qui l’accueillit dans sa bouche ouverte. Il sortit le doigt de son anus, porta la main sous ses testicules et les serra, provoquant une ultime giclée de semence sur le corps de la femme qui le buvait, souriante et gourmande, en se masturbant le clitoris, bienheureuse, les yeux mi-clos, la bouche ouverte, le visage maculé de traînées blanches. 
Comblé de volupté, tout le corps du jouisseur rayonnait du plaisir qu'il s'était lui-même donné. Il  regardait s’écouler de son gland les dernières gouttes de son sperme sur les cuisses de la fille, sur les poils de son pubis et le long de sa propre verge jusqu’à ses  testicules.  Puis il laissa  retomber ses mains ; il resta immobile, le sexe cambré, haletant, les yeux mi clos, le visage extasié, éperdu de plaisir.  La femme avança sa main et caressa longuement, tendrement, le membre cramoisi, fier, dressé, luisant et parfumé, puis saisit les testicules qu'elle enserra, souleva et pelota amoureusement. Elle souriait au garçon qui, ouvrant les cuisses, s'offrait à ses caresses. En même temps, elle écartait ses cuisses pour permettre à l'autre de la pénétrer plus profond. Elle laissa les couilles du garçon et ramena sa main  vers son sexe pour  masturber encore son clitoris, agile et experte. Le sexe dressé du garçon masturbateur pointait devant sa figure arrogant, splendide colonne cambrée, veinée, ...

... brillante, fière de sa rigidité et du sperme donné. Elle se tendit vers lui sans lâcher ses couilles, saisit le nœud entre ses lèvres et suça la verge raidie que le garçon enfonça en soupirant d’aise dans sa bouche. Un blanc...
Oh, Bon dieu ! fit Antoine. 
	Paul quitta l'écran des yeux et le regarda. Antoine était presque étendu sur le divan, ses cuisses nues entrouvertes, comme tout à l'heure, mais un peu haletant, la bouche ouverte, l’œil vague. Le bas de la veste d’intérieur faisait entre ses cuisses un renflement qui ne laissait aucun doute sur son état : le garçon bandait franchement. Paul sourit, jubilant intérieurement « bon dieu, c'est pas vrai? Mais si! Ça y est! Il bande! Il va s'envoyer en l'air, c'est sûr! Et moi avec !!!Le bonheur! Je bande, moi aussi !On va se masturber ensemble , se faire jouir, gicler tout notre jus sur nos cuisses!»; il tendit le doigt vers son ami.  
Alors, Antoine, tu as un problème, on dirait ? C’est une crampe ? Ou la la ! Ça fait mal, des crampes à cet endroit-là ! C'est douloureux et pénible!
Antoine sourit, gêné; il tira timidement et  vainement sur le bas de son vêtement décidément très court.
Bon, moque-toi de moi, tu as bien raison...Eh bien oui, tu le vois, je suis con, excuse-moi, j’en ai honte, un peu, mais je ne peux pas m’en empêcher et non plus le cacher : tu  vois , je trique, je bande comme un faune, ma queue est toute raidie. Je peux même pas essayer de la coincer entre mes cuisses, elle est trop dure! Et je  te dis pas mes ...