1. L'étalon aiguille (Tome 3) (8)


    Datte: 12/06/2018, Catégories: Transexuels Auteur: Sam Botte, Source: Xstory

    ... vais en dessous.
    
    — Mais je croyais que tu devais tout faire et que je n’avais qu’à profiter.
    
    — Et alors? L’un n’empêche pas l’autre, tu vas voir… Tu veux bien me laisser mener la danse?
    
    — Je te suis soumise.
    
    Elle se coucha sur l’épais tapis de fourrure, enfonça en elle la moitié du gode "qui lui revenait" et me demanda de me positionner à califourchon sur son ventre. Quand elle écarta les globes de mes fesses avec ses deux mains, je n’eus pas le temps de me poser des questions sur ce qu’elle avait en tête : je sentais déjà le gland de latex peser sur ma rondelle anale. La vaseline dont elle avait enduit "la moitié qui me revenait à moi" avant que je ne prenne ma position lui permit de s’enfoncer relativement facilement en moi. Je poussais malgré tout de petits cris auxquels elle répondait par des caresses et des mots doux et rassurants. Elle avait ôté ses jolis gants pour "préparer" le gode et je sentais distinctement l’ongle de son majeur au sommet de ma raie fessière. Sa main droite se promenait de mes seins à mon minou. De temps en temps, un spasme me faisait me raidir. Je jetais la tête en arrière, caressant mes épaules de mes cheveux. Malgré la fatigue qui me gagnait, je cherchais tous les moyens de l’exciter plus encore et j’en vins à la supplier "Oh oui ! Prends-moi ! Baise-moi ! Encule-moi ! Je suis à toi ! Oh oui…". Elle posa ses mains sur mes reins et m’attira vers elle. Répondant à son invitation, j’inclinai mon buste pour m’allonger sur elle, en appui ...
    ... sur mes avant-bras.
    
    Le passage à cette position semi-couchée eut pour effet immédiat d’écarter un peu plus encore mes fesses. Sentant que le gode menaçait de sortir de moi, elle ramena un peu ses jambes vers elle, se cambra en prenant appui sur les hauts talons de ses bottes afin que son gland soit bien enfoncé et se mit à me limer frénétiquement. Le cuir des cuissardes frôlait l’intérieur de mes cuisses à chaque fois qu’elle me pénétrait. La rapidité de ses mouvements me fit monter au ciel dans un long cri de plaisir. Elle s’arrêta alors, en sueur et à bout de souffle. Alors, lentement, je m’assis un peu plus encore sur elle en reculant mon bassin, faisant entièrement rentrer en moi le phallus artificiel.
    
    — Sam… Qu’est-ce qu’il y a? Tu pleures? Je t’ai fait mal?
    
    — Non, Tiff’, c’est juste l’émotion !
    
    En bloquant ma respiration, je me désaccouplais. J’éprouvais une sensation encore inconnue : j’étais bien, j’étais heureuse, comme sur un petit nuage, et en même temps, la violence de mon orgasme me laissait vidée, sans énergie. Je me souvins d’avoir vu plusieurs fois Tiffanny s’endormir comme une souche juste après avoir joui. Je me forçai à ouvrir les yeux et balbutiai à son intention :
    
    — Tiff’… Je crois que je vais m’endormir…
    
    — Je crois aussi ! Attends. Juste un dernier effort…
    
    A quatre pattes et avec son soutien, je me traînai jusqu’au canapé sur lequel elle m’aida à m’allonger. Quand elle déposa délicatement une couverture sur mon corps nu après m’avoir ...
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