1. En vacances chez ma tante (3)


    Datte: 12/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bloomberg, Source: Xstory

    ... concentrée sur son propre plaisir et les mouvements saccadés sur mon sexe n’étaient pas vraiment volontaires. Ils étaient plutôt le fruit de ses propres agitations, ce qui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. La vision de cette femme se donnant du plaisir avec mes doigts était le plus beau cadeau qu’elle pouvait me faire.
    
    Elle ne parlait plus, mais haletait de manière appuyée et émettait des petits cris à chaque pénétration digitale. Ses ondulations étaient de plus en plus amples et appuyées, de telle sorte que deux de mes doigts rentraient désormais entièrement à l’intérieur de sa matrice.
    
    J’eu peur, un bref moment, que les bruits que nous émettions (surtout ma tante) ne réveillent la maisonnée, mais il n’en fut rien.
    
    J’étais au bord de l’explosion quand elle pressa puis pinça fortement un sein de sa main libre en étouffant un cri. C’en était trop pour moi et je giclais puissamment sur mon torse.
    
    De son côté elle se crispa et serra ses cuisses autour de ma main en émettant un râle de plaisir. Je compris qu’elle était en train ...
    ... de jouir. Son vagin se contracta fortement plusieurs fois en rafale autour de mes doigts pendant que je lâchai mon dernier jet de sperme sur les draps.
    
    Nous restâmes comme cela un long moment sans rien dire à reprendre notre respiration.
    
    Ma tante fut la première à briser le silence.
    
    — Non seulement tu es un bon cavalier, mais tu sais drôlement bien donner du plaisir à une femme… Merci… J’espère que ça t’a plus aussi.
    
    Je répondis d’un “oui” timide.
    
    Puis désignant les draps mouillés autour de moi, elle ajouta.
    
    — Ne t’inquiète pas, je ferai une lessive demain.
    
    Elle se pencha pour m’embrasser sur le front. J’avais la tête dans ses seins.
    
    — Bonne nuit mon neveu !
    
    — Bonne nuit ma tante !
    
    Elle retourna se coucher discrètement aux côtés de mon oncle qui n’avait cessé de ronfler, me laissant abasourdi par ce qui venait de se passer. J’eus du mal à m’endormir, des images et des sensations tourbillonnaient dans mon cerveau en ébullition. Finalement, le sommeil me gagna tard dans la nuit et je sombrai dans le néant jusqu’au petit matin. 
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