1. Devenus amants


    Datte: 12/06/2018, Catégories: fh, extracon, vacances, hotel, amour, Oral pénétratio, hdanus, Auteur: Cadesside, Source: Revebebe

    ... promenade amicale en forêt, feignant d’ignorer son empressement à être à mon contact. Tout lui est bon pour le rapprochement, une pente un peu raide à monter et elle me tend la main et la garde, un talus à descendre et emportée par son élan, elle vient contre moi, me gratifiant au passage d’un contact appuyé de sa poitrine que je devine ferme à souhait. Tout cela commence à m’échauffer…
    
    Quelques gouttes viennent perturber ces instants où l’on suspend le temps pour analyser le trouble qui nous envahit. Je propose à Mape de retourner à la voiture très rapidement pour éviter l’averse qui menace, elle acquiesce et se tournant vers moi me remercie pour le temps que je lui consacre. S’en suivent un, puis deux puis… baisers sur les lèvres qu’elle s’ingénie à rendre innocemment conquérants. Je lui prends la main et nous courrons comme deux ados jusqu’à la voiture.
    
    Assis côte à côte, je lui passe le bras derrière la tête, lui caresse la nuque et la joue, elle réagit immédiatement à mon approche et se précipite vers moi. Son baiser est fougueux, sa langue effectue un travail de sape auquel je souhaite résister, mais en vain ! Son ardeur a raison de ma morale. Je ne voulais pas d’aventure avec une femme mariée (surtout si je connais son mari) ! Je lui fais part de cette réticence, mais elle balaie mes scrupules par encore plus de fougue, ses mains se promènent sur mes cuisses et mon torse, c’est fini, j’abandonne les armes, mes caresses répondent aux siennes. J’explore son corps ...
    ... au travers de ses vêtements, les seins sont ronds et pleins à souhait, ils sont fermes, les tétons durs, fiers et réactifs, elle me les offre. Petit à petit, la migration de mes mains avides et curieuses de son corps me conduit à ses cuisses. La lente remontée de ma main sur sa jupe reçoit un message de bienvenue. Mape soupire, redouble d’ardeur dans notre baiser, et écarte encore plus les cuisses pour faire place à l’exploratrice, j’ai sous les doigts un Mont de Vénus offert, et la toile de la jupe fait un illusoire rempart à sa pudeur envolée. J’empaume cette chatte que je devine bien faite. Nous sommes envahis par la fièvre du désir et la promesse de bons moments à vivre. Je lui avoue au creux de l’oreille que je bande dur. Elle me répond en dirigeant ma main sur sa culotte dont l’humidité est l’aveu de son désir.
    
    — Mape ! Ce n’est pas très confortable ici ! J’ai très envie de prendre mon temps pour…
    
    Elle m’interrompt.
    
    — Baiser !
    — Ouais !!! Ne veux-tu pas poursuivre nos caresses à ton hôtel ?
    — Oui ! Bien sûr, gros bêta ! J’attends cela depuis août ! J’ai envie de toi ! J’ai attendu ce moment en espérant que tu serais OK ! Allons-y ! Je sens que tu en as aussi envie, continue-t-elle, en testant ma raideur impatiente qui déforme mon pantalon.
    — Tu songeais à moi de temps en temps ?
    — Oh oui et pas seulement ! Je me suis souvent caressée en fantasmant sur toi ! Je peux même t’avouer que la dernière fois que nous avons fait l’amour, mon mari et moi, il y a quatre ...
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