Une stagiaire motivée...
Datte: 12/06/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
Collègues / Travail
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
Auteur: Jfcorto, Source: Revebebe
... s’empêcher d’observer Pierre caresser la poitrine de la femme en l’embrassant fougueusement, pinçant ouvertement les tétons à travers la robe. L’homme tourna doucement la tête de Marie vers lui et posa ses lèvres sur les siennes. Elle ne se voyait pas refuser ce que sa femme offrait à Pierre et accepta la langue qui s’enroula autour de la sienne tandis qu’elle sentit à nouveau les mains de l’homme s’emparer de sa poitrine. Pierre, déjà bien excité par ce que la blonde lui offrait, appréciait également du coin de l’œil le spectacle des mains de l’homme qui pétrissaient la masse lourde des seins de Marie. Il comprit que l’homme suivrait ses mouvements et que Marie n’oserait refuser se disant qu’il pouvait aller plus loin et profiter des 2 femmes de manière directe ou indirecte. Aussi glissa-t-il sa main dans le décolleté de la blonde et palpa directement la poitrine menue mais ferme, nue sous le tissu. Comme prévu, il put voir la main de l’homme s’insinuer dans la boutonnière de Marie. Sous la pression, un bouton supplémentaire s’ouvrit, dévoilant d’abord largement le sillon profond de son décolleté puis, quand la main repoussa les pans de tissu, le détail de son balconnet de satin blanc moulant les masses opulentes. L’homme la caressa quelques instant à travers le satin, avant de se couler sous le soutien-gorge, directement contre la peau nue, appréciant les rondeurs chaudes, calant les pointes tendues contre sa paume, avant de les pincer doucement. Marie ne savait pas ce qui ...
... la gênait le plus, entre le contact des paumes brûlantes contre sa peau nue, le fait de s’exhiber ainsi devant Pierre et les sensations que cela lui procurait malgré elle, comme le prouvait ses tétons maintenant bien gonflés. Pierre se délectait du ballet des doigts qu’il devinait sous le tissu du soutien-gorge, et continuant le jeu, abandonna la poitrine de la femme pour caresser ses jambes, remontant petit à petit le tissu jusqu’à mi-cuisses. Quand l’homme fit de même, Marie tenta de garder les cuisses serrées pour limiter la caresse. Mais la fente de sa robe lui dévoilait les cuisses très haut, permettant aux mains de remonter jusqu’à la limite de leur jointure. Dans le mouvement, les pans s’écartèrent, dévoilant parfaitement le triangle de satin blanc, suffisamment haut pour que Pierre puisse même deviner le relief de sa toison. Dans un premier temps, au grand soulagement de Marie, il se contenta de rester à la limite de sa culotte. Mais avec horreur, elle vit la main de Pierre disparaître sous la robe de la blonde pour se nicher au creux de ses cuisses. Comme un signal, les doigts de l’homme remontèrent d’un cran, se posant d’abord quelques instants sur le doux renflement de son pubis, avant de s’insinuer lentement entre ses cuisses, sans qu’elle puisse l’en empêcher. Elle poussa un petit gémissement incontrôlé quand les doigts vinrent palper son intimité à travers le satin, lui envoyant comme une décharge électrique, lui faisant instinctivement entrouvrir le compas de ...