1. AU DELA DU CERCLE POLAIRE


    Datte: 26/01/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... dessinés mais sans excès, encardent un petit nombril, jusqu’à la fourche de ses jambes, elles aussi longues et fines,qui s’étendent vers des pieds menus aux ongles aussi bien manucurés que ceux de ses mains. Le bronzage est uniforme et intégral, et la pilosité absente. La fente de sa chatte est exposée au soleil artificiel. Assurément elle m’a entendu arriver, car elle ne dort pas. Elle bouge de temps en temps, les orteils ou les mains. Le seul accessoire est un petit oreiller en mousse qui soutien sa tête. J’en prends un sur une étagère où ils sont rangés et m’approche de la beauté.
    
    Je ne suis pas un apollon, j’en suis conscient, et mes chances avec ce type de nanas sont assez proche du zéro. Je fais 1,75m, un visage régulier, mais assez quelconque à mon goût, malgré des yeux verts clairs, et une musculature qui fut un temps assez présente, mais la bonne chère, et une vie sédentaire m’ont doté d’un embonpoint qui, j’en ai déjà fait l’expérience, est assez rédhibitoire auprès de la gent féminine. Je devrais me contenter de l’observer, puis passer mon chemin, mais comme je suis seul, et pas à mon premier rateau, je fais le contraire. Je prends un coussin, et l’approchant de la belle lui demande si je peux m’installer à côté d’elle sans la déranger. En français d’abord, je n’obtiens aucune réaction. J’essaie en anglais, mais la dame reste de marbre. N’ayant pas d’autres langues à ma disposition, je m’installe à ses côtés après avoir lancé les lampes bronzantes.
    
    Comme la ...
    ... seule occupante présente est nue, je me défais de mon maillot de bain, avant de m’étendre sur le dos. Au moins , de ce côté là je ne suis pas défavorisé. Le sol est un peu dur pour mon dos, mais je me laisse aller à la douce chaleur des lampes bronzantes. De temps en temps j’ouvre un œil et surveille ma voisine, qui semble pétrifiée dans sa position, et n’a même pas ouvert les yeux. Je me dis que l’endroit n’est pas clos et que plus j’attends, plus je m’expose à l’arrivée inopportune d’autres personnes, voire d’un mari ou petit ami. Prenant mon courage à deux mains, j’étends mes bras de part et d’autes de mon corps, et viens, par inadvertance toucher sa hanche. Je la sens frémir imperceptiblement, mais elle n’a pas bronché. Je garde ma main contre sa hanche sans qu’elle esquisse le moindre geste. Par un peu subtile reptation, je me rapproche de ma jolie voisine. Je peux alors faire glisser ma main sur sa hanche, jusqu’à ce qu’elle se retrouve à plat sur son aine. Comme elle ne réagit toujours pas, ma main se déplace sur son ventre plat, effleurant la région entre le nombril et le pubis. Elle ne bouge toujours pas, mais ses narines se dilatent, et j’entends sa respiration. Je descends vers sa fourche, et mes doigts atteignent le haut de sa fente. Elle replie, un peu, une de ses jambes avec un soupir. Aidés par le mouvement, mes doigts, viennent explorer ses lèvres intimes, et je sens se développer son bouton que je titille un instant. Je commence à descendre plus bas mais elle ...
«1234...»