1. Confidences


    Datte: 11/06/2018, Catégories: fh, ffh, médical, hotel, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme fdanus, fsodo, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... idées. Nous nous retrouvions chez l’un ou chez l’autre, suivant les absences des parents ; ou quand ils n’étaient pas assez absents à notre goût, ailleurs.
    — Ailleurs ?
    — Dans les toilettes du cinéma, parfois même dans la salle ; au lycée encore, dans les toilettes ou plus rarement dans une salle de classe vide ; parfois aux beaux jours dans un parc ou dans les bois. Après le lycée, quand j’ai eu ma chambre, cela a été plus simple et moins risqué.
    — Vous avez abandonné les exercices extérieurs ?
    — On a abandonné les galipettes chez les parents. Il faut dire que plusieurs fois nous avions failli nous faire surprendre, les parents rentrant plus tôt que prévu, ou parfois même à l’heure, mais nous n’avions pas vu le temps passer. Mais pour l’extérieur, nous avons toujours un peu pratiqué. Classiquement en voiture ou dans des toilettes, mais aussi dans une loge au théâtre, lors de visites de divers monuments. Le sommet a été dans le métro.
    — Dans le métro !
    — Oui, et à une heure de pointe. En dehors de ça, la seule chose sortant de l’ordinaire que nous ayons faite, c’est – comment dire – un… un dérapage.
    — Un dérapage ?
    — Voilà : Ariane avait invité sa meilleure amie et son copain à dîner et, à la fin de la soirée – bien arrosée, il faut l’avouer – ces demoiselles étaient face à face à quatre pattes sur le tapis à se faire enculer.
    — Ah, ma cousine aussi pratiquait ?
    — Eh oui, que veux-tu : l’influence délétère des pornos.
    — Et… avais-tu la même particularité quant ...
    ... à…
    — Pour la taille de mon sexe ? Oui. Pour la résistance, pas autant. C’est après la mort d’Ariane que ça s’est développé.
    — Tu t’en es rendu rapidement compte ?
    — Rapidement… je ne sais pas. Après sa mort, j’ai été sonné ; je me suis réfugié dans les études d’abord et le travail ensuite. Je suis resté jusqu’à mes trente ans passés sans m’intéresser à autre chose.
    — Pendant sept ans ! Et somment es-tu sorti de ton marasme ?
    — Et vous avez remis ça ?
    — Le lendemain, son mari ne sortit pas. Mais j’ai eu une surprise : pendant le dîner, la serveuse m’a glissé que c’était formidable ; j’avais réussi à redonner le moral à sa patronne, avant d’ajouter dans un souffle que ce serait sensas si je pouvais le lui redonner à elle aussi.
    — Et tu as accepté ?
    — Après son service, elle m’a rejoint dans ma chambre. Elle s’est déshabillée, mais une fois nue elle s’est affolée et s’est mise à trembler. Elle commençait à piquer une crise, à devenir hystérique. À ma grande honte, je lui ai donné une claque. Ça l’a tétanisée et calmée. Elle n’a opposé aucune résistance quand je l’ai poussée vers le lit ; elle a commencé à reprendre vie pendant le cunnilingus. Ses cuisses se sont ouvertes, son bassin a ondulé. Mais c’est à l’étape suivante, quand je l’ai pénétrée, que j’ai été surpris de découvrir qu’elle était vierge.
    — Vierge !
    — Oui : vierge. Heureusement, elle n’a pratiquement pas saigné et nullement souffert. Après nettoyage, elle a voulu remettre çaillico. Elle aussi a quitté ma ...
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