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De Dame patronnesse à libertine. (3)
Datte: 10/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... de Domi, j’ai acheté deux soutiens-gorge... L’un couvre complètement les seins mais le bonnet est découpé de manière à laisser apparaître le téton à la pointe, l’autre est carrément indécent (d’après moi...) Il relève mes seins et les présente dans des demi-bonnets qui laissent voir une grande partie de l’aréole... Bien évidemment le téton est à portée de caresse ou de baiser. Cela plaît beaucoup à Amandine. J’ai également deux strings très étroits qui couvrent à peine le peu de poils qui me restent... Le tout est complété par une robe dont les bretelles se nouent derrière la nuque et laissent mon dos presque entièrement découvert... On voit même l’amorce de ma raie culière... Quant à la longueur, elle est très réduite car elle s’arrête à la moitié de mes cuisses. Domi m’a indiqué de prendre soit une cape soit un manteau pour me couvrir en attendant d’arriver là où nous devons aller. Vendredi soir. Après le dîner pris en famille... Pour une fois nous sommes quatre à table avec le frère d’Amandine, j’annonce que ce soir : je sors. Mon mari ne s’étonne pas outre mesure, quant à mon fils, il n’en a rien à faire... et ma fille qui sait, ne fait pas de commentaire et nous nous retrouvons dans notre salle de bains commune. Avant de prendre ma douche, Amandine s’occupe de ma toison qu’elle raccourcit encore, ne laissant qu’un tout petit toupet au-dessus du capuchon de mon clitoris... mais il n’y a rien à faire pour faire disparaître les traces des poils... Je suis ...
... tellement brune que la racine transparaît ! Dès que je suis séchée, j’enduis mon corps d’un onguent parfumé puis je m’asperge de paillettes dorées qui, d’après ce que dit Amandine, brilleront de mille feux. — Tu verras... Tu seras la reine lorsque tu paraîtras ! Je m’habille rapidement et j’enfile un long manteau par-dessus avant de rejoindre Domi qui m’attend dans sa voiture devant le portillon de la maison. Nous nous embrassons brièvement et nous prenons la route. Une petite heure plus tard, Domi engage sa voiture dans une allée bordée d’arbres et discrètement éclairée puis nous entrons dans un parc au milieu duquel trône une grande demeure dont presque toutes les fenêtres sont occultées par des volets ou des rideaux épais. Deux projecteurs éclairent le perron devant lequel sont garées plusieurs voitures. — Sommes-nous invitées ? — NON ! Mais plus on est de femmes mieux nous serons acceptées. En plus je suis connue ! — Ah bon ? Tu es déjà venue ? — Oui... et ce n’est pas la première fois... — Tu m’en diras tant ! — La première fois, c’était pour l’anniversaire de mariage des propriétaires... L’épouse voulait faire un cadeau à son homme... et c’était moi le cadeau ! Laisse-moi te bander les yeux... J’entends Domi frapper à la porte : trois coups brefs, un temps de silence puis un autre coup. Je pense aussitôt : c’est un code ! Je sens et j’entends la porte s’ouvrir... Un peu de chaleur, mais surtout de la musique. Une voix mâle s’élève : — Oh Domi ! ...