1. DAMIEN V


    Datte: 10/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: ANDRERP95, Source: Hds

    ... de maïs, ils avaient dû deviner ce qui se passait dans le bungalow.
    
    Mourad est resté quelques secondes sans bouger, ses mains crispées sur mes épaules et son visage dans mes cheveux défaits. Puis il a levé son torse en prenant appui sur ses bras tendus. Seul son pubis était collé contre mes fesses.
    
    - Cambre-toi bien le français. Offre-moi bien ton cul. Décontracte-toi, sinon tu vas avoir mal. Le plus dur est fait.
    
    Il a commencé à me sodomiser très lentement et je serrais les dents en sentant ma rondelle s’ouvrir pour épouser la circonférence de son membre qui coulissait dans mon intimité lubrifiée de salive. J’avais de moins en moins mal.
    
    - Tu vois, Damien comme ton cul s’est bien ouvert. Maintenant je vais bien te niquer. Tu vas en redemander poufiasse.
    
    Le calvaire a duré longtemps. J'avais les chairs à vif, les intestins chamboulés, le ventre distendu. La hampe forait mes reins. Le gland ouvrait mon conduit et l’élargissait, la douleur sourde ne me quittait plus. Je serais les dents laissant échapper de temps en temps des gémissements.
    
    Au bout d’un bon moment, j'avais le cul tellement ouvert qu’il pouvait y faire ce qu’il voulait sans ajouter de salive. Il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le lit manque de s’écrouler. Il sortait tout son membre à l’exception de son gland et le replantait de toutes ses forces en mes fesses m’arrachant un cri à chaque fois que je sentais sa queue taper contre ma paroi anale.
    
    Il me ...
    ... pilonnait le cul sans relâche. Son sexe frottait contre ma rondelle dilatée. De temps en temps, il s'arrêtait pour reprendre son souffle. Il m’a sodomisé longtemps avant de se vider en moi à grands jets de foutre qui m’ont remplis le cul.
    
    Il ne s’est pas aperçu qu’aux seuls frottements du matelas rugueux contre ma pine, j’avais éjaculé en même temps que lui. J’en ai été le premier surpris et complètement dérouté.
    
    Quand il s’est retiré, j’ai eu froid aux fesses. Je me souviens très bien de cette sensation de vide. L’impression d’un manque et en même temps de l’avoir encore en moi.
    
    - Tu vois, maintenant ton cul, il est à la bonne taille. On va bien te l’ouvrir. Il faudra faire tout ce qu’on veut. Si non, on dira à Sylvie que tu n’es qu’un pédé. Allez remets ton froc. Ne t’essuie pas. Il faut que tu sentes que ça coule et que tu m'appartiens.
    
    Je me suis levé complètement crevé. Mon cul coulait et mes fesses étaient glissantes. J’ai laborieusement remis mon maillot de bain. J’avais un peu de mal à marcher. Mal au ventre aussi. J’avais l’anus irrité.
    
    Quand nous sommes sortis de la cabane, les gamins qui jouaient nous ont regardés. Un des mômes a pointé vers moi son majeur tendu vers le ciel, les autres doigts repliés. J’ai rougi. Ils ont tous rigolé de bon cœur.
    
    Nous avons retrouvé le petit vendeur de maïs. Avant de nous quitter, il a prononcé quelques mots que Mourad m’a traduit.
    
    - Il a dit qu’avec la tâche que tu as sur le derrière du maillot tout le monde sur la ...
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