1. Berlin, son histoire, ses vices (5)


    Datte: 10/06/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: charimarien, Source: Xstory

    Mademoiselle nous délivre. À coups de martinet, elle nous pousse dans ma chambre, nous enferme dans la cage sous le lit sans que nous puissions nous laver. Elle nous repousse encore nos limites et j’adore me sentir adossée à ce mur, celui de mes limites sans cesse reculées. Sans un mot, elle retire ses vêtements. Assise devant la cage, les jambes pliées, écartées, elle se branle en nous insultant copieusement et plus bas que terre. Ses moqueries ne font qu’attiser nos fantasmes les plus violents. Quand elle se pince ses seins, puis qu’elle étire son clito démesurément, je ne peux me retenir de pousser ce râle de plaisir qui va me valoir le martinet ou pire, le fouet.
    
    La sanction ne tarde pas. Avant que je ne sorte de la cage, elle m’attache une laisse à mon nez. Sur mes épaules, elle dispose sa cape. Mes mains menottées dans mon dos. Elle me pousse vers la sortie. Dans la rue, sans Agnès, restée seule dans la cage, il me semble que tous les passants me voient nue. Elle me dirige vers cette boîte où, le premier soir, elle m’avait mise entièrement nue devant les clientes. Devant la porte de l’établissement, elle me retire mon unique vêtement qu’elle laisse choir sur le macadam. Avec mes dents, je m’accroupis pour la ramasser.
    
    — Tu aimes ça ma salope, tu mouilles comme si tu pissais, sale chienne. Tu n’es qu’une truie.
    
    Là encore, je jappe telle une chienne et la cape me glisse d’entre les dents. Un coup de cravache et me voilà couchée à même le sol, à ramasser ma cape ...
    ... et me relever sans l’aide de ma Maîtresse. Ainsi humiliée, je suis déjà sur le point de jouir. Un autre méchant coup de cravache sur ma chatte me ravale au rang de soumise.
    
    — Espèce de pute, tu jouiras quand tu en auras la permission, pas avant. Entre et à genoux, salope !
    
    Tout ça, elle le dit assez fort que tous, loin à la ronde, puissent entendre sa voix railleuse. Je crois voir toute la planète me fixer. J’ai honte, une honte qui m’emporte sans même me toucher quand la porte s’ouvre. Mon orgasme dur un long moment. Mademoiselle me pousse à l’intérieur en claquant sa cravache sur mon cul. La cape tombe, à genoux, bien penchée en avant, je m’efforce de la ramasser pendant que Mademoiselle me rougit davantage mon popotin. Je continue à genoux, la cape entre mes dents et Mademoiselle qui fustige maintenant mon dos, juste entre mes épaules. Dans la salle, une bonne vingtaine de couples uniquement féminins me regardent avancer. Je dois être rouge de honte. Déjà certaines se lèvent, que des dominatrices. On me palpe parfois douloureusement. On me fouille, cul et sexe, tout y passe, même ma bouche est visitée par ces mains peu délicates. Je sens que je vais en prendre pour mon grade.
    
    — Voilà ma nouvelle pute, ma merveilleuse petite pute qui se fait anneler sans mon autorisation. Elle mérite votre mépris car elle cherche à devenir l’une des nôtres, une pourrie attirée par le fric. Je vous l’abandonne jusqu’à la fermeture. Elle est à vous. Harangue Mademoiselle
    
    Si j’ai ...
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