1. Le branleur


    Datte: 25/01/2018, Catégories: hh, hplusag, jardin, hsoumis, nopéné, exercice, portrait, Auteur: Idéfix, Source: Revebebe

    Écrit pour une dame…
    
    Voilà, je suis le branleur…
    
    À deux titres.
    
    Premier titre : même si j’ai fait illusion durant cinquante ans, ma carrière au bureau des Consignations n’aura été qu’une pantalonnade. Sauf le minimum syndical, je n’ai rien foutu de toute ma vie. Toute mon intelligence fut investie dans l’art et la manière de faire croire que je travaillais ferme. D’accord, je n’ai bénéficié d’aucune promotion mais je n’ai jamais, non plus, reçu le moindre blâme, et je touche ma retraite pleine et entière ! Certes j’aurais pu me consacrer à une autre activité, que j’aurais aimée, mais voyez-vous, il aurait fallu pour cela que je prenne des risques.
    
    Le statut de fonctionnaire me convenait si bien…
    
    Second titre : tous les soirs je branle Teddy, le sourd-muet. Cela se passe au fond du jardin public, dans le bosquet de bambous derrière la haie de charmille. Nous nous retrouvons à la tombée de la nuit, sur un tronc d’arbre couché au sol, lui venant par la porte de la rue Couchetôt, toujours ouverte, et moi par celle de l’avenue Patras, jamais fermée… Pas un mot n’est échangé, puisque Teddy est sourd-muet. Il est prévenant et a disposé des plaques de carton d’emballage sur le bois pour que je ne risque pas de salir mon pantalon. Nous nous asseyons côte à côte. D’abord je lui caresse l’intérieur des cuisses, et si ma main remonte trop vite à son gré vers l’entrejambe, il la saisit et la ramène fermement sur sa cuisse. Je la caresse doucement, par mouvements ...
    ... tournants. Mais j’ai très envie de remonter plus haut, de sentir le sexe encore légèrement gonflé mais déjà déployé.
    
    Bientôt, avec son aide, le pantalon puis le slip sont baissés, et je passe la main sur son sexe : il repose de biais sur le ventre, le gland n’est pas encore décalotté. Je m’en saisis avec douceur, de la main droite (elle branle mieux que la gauche, nous avons vu cela à l’usage) et je branle, d’abord avec lenteur. Parfois, de la main gauche, je caresse aussi les couilles, qui sont de belle taille, et rouges. Teddy a une belle bite et apprécie mes allers et retours sur son membre. Ledit membre se rigidifie peu à peu et j’entreprends alors de décalotter le gland. C’est un beau spectacle : il est d’abord plus gris que violet mais peu à peu prend de la couleur.
    
    Teddy a renversé la tête en arrière et, par grognements et incitations manuelles, m’incite à branler plus vite. Ce que je fais. J’accélère crescendo et je regarde alternativement le visage de Teddy et sa bite. Teddy a le regard fixe et la bouche ouverte. Puis des spasmes agitent son ventre, des tremblements secouent ses jambes, son corps entier se raidit, j’accélère encore et encore. La bite dure et chaude dans ma main, toute vibrante, éjacule enfin, par saccades. Sa jute blanche et grise coule sur mes doigts, son ventre.
    
    Elle ne gicle pas, non, elle ne fait pas de jets. Il en coule quoi ? Trois dés à coudre tout au plus. Pendant que la jute s’écoule, je ralentis la cadence et je branle encore doucement, ...
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