Ma collège serrurière - Histoires de Sexe

Ma collège serrurière

... sur ses seins que se posent mes yeux, essayant de m’imaginer ce qu’elle porte comme soutien-gorge et me demandant si ils tombent (personnellement j’aime ça les seins lourds) et si ils ont des gros tétons ce que j’adore aussi.

Petit à petit le jour se lève et l’on s’approche de Clermont Ferrand. Avec la luminosité du matin l’ambiance un peu feutrée et intime s’évapore dans les limbes matinaux et c’est presque un peu gêné que nous finissons la route comme si les non-dits s’étaient exprimés.

A Clermont c’est une journée studieuse entrecoupée d’un repas plateau à la cantine de l’usine et nous sommes contents le soir vers 19h de repartir. Je m’arrête dans le 1er bar que j’aperçois et lui offre un verre.

On discute de choses et d’autres, de la formation comme si on évitait de parler de nous.

Finalement je lui dis :

- On va trouver un petit resto sympa, je t’invite (oui je suis passé au tutoiement) et on prendra la route après.

Claudine accepte avec de nouveau une rougeur aux joues. On quitte le bar et à quelques encablures on trouve un petit resto à l’allure sympathique avec ses petites tables pour deux sur lesquelles sont posées des lampes à abat-jour qui donnent un caractère intime à la salle.

On s’installe au fond vu qu’il y a peu de clients encore et on passe notre commande. Je lui raconte quelques blagues qui la font rire au point que je finis par dire :

- Femme qui rit femme dans mon lit dit le proverbe.

Claudine rit mais elle est troublée, ...

... d’autant plus que mon pied est venu se frotter au sien sous la table. Je vois qu’elle ne se dérobe pas et décide de poser mon mocassin pour reprendre ma progression avec mon pied nu qui vient frotter son mollet charnu et doux. La jambe ne bouge pas et mon pied remonte lentement, arrive aux genoux presque joints mais qui s’écartent très largement pour me montrer que la belle apprécie la caresse. Mon pied progresse et atteint son entre-jambe et là, grosse surprise, la coquine n’a pas de culotte et mon gros orteil pour jouer avec les poils bouclés de sa chatte déjà très humide.

Je me penche en avant et pour répliquer à ce qu’elle m’a dit le matin dans la voiture :

- Je ne suis surement pas la chaussure à ton pied, mais je suis le pied pour ta chatte et elle a l’air d’aimer.

Claudine ne répond pas, mais passant une main sous la table elle prend mon pied et enfonce mon gros orteil dans sa fente déjà trempée et me glisse dans un murmure :

- Baise-moi avec ton pied mais après mangé j’en veux plus !

Mon pied qui a des oreilles et comprend tout, se met à la branler furieusement, allant de son clito qui bourgeonne tendu et dur à sa chatte bien renflée qu’il enfonce comme il peut et descend parfois jusqu’à son petit trou sur lequel il appuie sans provoquer de réaction effarouchée.

Je suis pourtant obligé d’arrêter car sans s’en rendre compte, Claudine se met à pousser des gémissements qui finiraient par interloquer les clients des tables voisines et de plus elle a tellement ...