1. L'aventure


    Datte: 09/06/2018, Catégories: fh, inconnu, grossexe, grosseins, fépilée, forêt, Masturbation fdanus, fsodo, fantastiqu, merveille, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... de la jeune femme se dilataient et son sourire devenait difficile à décrypter. Le décolleté de sa robe ne faisant qu’aggraver le processus, la poitrine généreuse se dévoilant davantage à chaque inspiration, de plus en plus ample et rapide. Le processus était enclenché, le drame était inévitable. La femme du maître d’armes n’y mettait pas du sien, en frottant de la paume de la main et en tentant de saisir entre ses doigts le membre turgescent comme pour en évaluer la circonférence.
    
    C’est à ce moment, fort peu opportun il faut bien le reconnaître, que le maître d’armes arrêta de se frotter à sa partenaire de danse pour s’intéresser à ce couple improbable que sa femme constituait avec Bigbo. Dégainant l’épée que le petit homme lui avait forgée, une des plus grandes qu’il ait jamais faites, il bouscula d’une main sa femme qui lui barrait sans le vouloir le passage vers sa cible et offrit à Bigbo un choix difficile :
    
    — La gorge ou le cœur, le gnome.
    
    Bigbo, il faut le savoir, était un être indécis. Il était donc très inconfortable pour lui d’être face à ce genre de dilemme. S’il avait eu quelques jours pour s’y préparer, peut-être sa réaction aurait-elle été plus appropriée, mais ce qu’il fit, il le fit, bien ou mal c’est ainsi. Il sortit sa dague de sa ceinture et la planta dans la cuisse du maître d’armes qui, faute d’avoir la rapidité nécessaire compte tenu de la taille de son épée, ne put que pousser un intense cri de douleur. Bigbo se leva d’un bond et s’enfuit, ...
    ... sautillant d’un pied sur l’autre, faute de marge de manœuvre dans son pantalon.
    
    De retour dans sa petite maison Bigbo fut pris de panique. Et si le maître d’armes venait se venger ou envoyait de ses amis pour le diviser en deux, peut-être même plus ? Que diraient les villageois ? Serait-il jugé ? Ici rien ne comptait plus que l’avis de la foule, ou de celui qui parlait le plus fort. Bigbo se repassa maintes et maintes fois la scène dans sa tête, se demandant s’il n’avait pas à un moment ou un autre d’une façon ou d’une autre laissé imaginer à la femme du maître d’armes qu’il avait quelques intentions à son égard. Mais non, il n’arrivait pas à comprendre comment il s’était mis dans ce sac de nœuds. Après tout, il verrait ça demain s’il était toujours en vie.
    
    La réaction des villageois le surprit. Non seulement ils n’étaient pas en colère, mais la plupart le félicitaient. Avoir blessé un maître d’armes, pour un homme de si petite expérience dans le maniement des armes, et de si petite taille ! Il faut rajouter que le maître d’armes n’avait pas très bonne réputation et il était de notoriété publique qu’il lui arrivait de s’occuper d’un peu trop près des femmes de ses compagnons d’armes, et ce, bien qu’il témoigne à l’égard de son épouse une jalousie extrême. Bigbo avait fait ce qu’ils n’auraient jamais osé faire.
    
    Mais les jours passant, les compliments cessèrent et il fut surpris d’être confronté à l’indifférence voire au mépris de certains hommes du village, de plus en plus ...
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