Des retrouvailles placées sous le signe du jeu
Datte: 09/06/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
extraoffre,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
délire,
couple+h,
Auteur: Shaton, Source: Revebebe
... désertes. Mathieu me tient la main… et me guide. Alors que nous passons dans une ruelle un peu sombre, sans rien dire il se colle dos à un mur et appuie sur mon épaule d’une main tandis que l’autre libère son sexe toujours tendu. Je ne me fais pas prier car j’en ai très envie. Je me délecte de cette gourmandise et il laisse échapper un :
— Oh putain, c’est bon !
L’idée que nous puissions être vus par des passants rend la chose encore plus excitante et je prends beaucoup de plaisir à en donner de cette façon. Nos plaisirs se font de plus en plus sonores jusqu’à ce que nous entendions des bruits de talons. Cela nous stoppe net et nous partons en courant et en riant.
Notre voiture se trouve juste derrière le pont. Celui-ci est illuminé, mais nous ne voyons personne et pensons tous les deux à la même chose à cet instant. Je me penche en avant sur la rambarde et soulève ma robe. Mathieu s’esclaffe :
— On est des grands malades ! Mais j’adore ça ! et vient me prendre là, comme ça.
— Oh ouiiiiiiiiiiiiii, ne t’arrête pas !
Il agrippe mes hanches et me donne même une fessée. Hummmmmmmmmmmm, que c’est excitant ! Mais un couple nous voit (il faut rappeler que nous sommes en pleine lumière) et, choqué, l’homme nous dit qu’il va appeler les flics. Mathieu lui rétorque qu’il est sûrement jaloux, mais comme nous ne voulons pas passer la nuit au poste (nous avons bien autre chose à faire) nous filons et rejoignons notre voiture. Il prend le volant.
Nous habitons à cinq ...
... minutes.
Mais cinq minutes, c’est trop long pour moi qui n’y tiens plus. Mathieu n’a pas pris le temps de se rhabiller correctement, alors je saisis son membre encore trempé de moi et je le suce goulûment. Bien sûr, il me dit que ce n’est pas sérieux, qu’il conduit. Mais je m’en fous ! Et je saisis sa main droite pour la diriger vers mes lèvres gonflées de plaisir afin qu’il perçoive l’effet dévastateur de cette soirée !
Il a du mal à conduire correctement mais je ne peux pas m’arrêter. Je joue de ma langue et de mes lèvres qui exercent une pression plus ou moins importante. Et mes mains effectuent, elles aussi, un mouvement de va-et-vient. Il semble aimer cela au plus haut point. N’y tenant plus et ayant compris que je ne céderai pas, il s’arrête sur le bas-côté et profite pleinement de mes soins. Il allonge le siège et pose sa main gauche sur ma tête, attrapant mes cheveux. De sa main droite, il me pénètre de deux doigts aisément. Nous gémissons tous les deux. J’ai l’impression d’être une vraie salope, ce soir-là, et j’adore ça ! J’entends :
— Surtout ne t’arrête pas, c’est trop bon !
De toute façon, je serais incapable d’arrêter ! Je le sens devenir encore plus tendu et il se déverse en moi en un grognement qui en dit long sur la tension accumulée depuis le début de la soirée. Je n’en perds pas une goutte, mais il devient vite très sensible. Je fais redresser son siège pour l’embrasser délicatement et dis :
— On rentre ?
C’est alors que nous découvrons avec ...