1. Un toc de petite fille ...


    Datte: 08/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Georges, Source: Hds

    Depuis toute petite, au plus loin que je me souvienne, j’avais toujours les fesses a l’air au plus grand damne de ma mère, surtout quand j’ai commencé à prendre de l’âge et puis c’est un peu de sa faute ! lorsque j’allais aux toilettes maman me demandais toujours si je m’était bien essuyée, alors je me penchais en écartant les fesses pour lui montrer mon derrière, il a fallu qu’elle se fâche fort pour que j’abandonne cette pratique mais au fond de moi-même je gardais l’envie de me montrer à la moindre occasion
    
    Devenue ados, lorsque les hormones ont commencé à me ‘travailler’, vers dix sept ans j’avais de plus en plus envie d’exhibition, dés que j’y pensais je quittais ma culotte afin de ne pas la souiller, ma mère m’aurait certainement posé des questions gênantes
    
    Les garçons ne m’intéressaient pas je préférais montrer certaines parties de mon corps comme par inadvertances, dés lors que je savais avoir été ‘vue’ je m’isolais pour me caresser jusqu'à l’extase, ça valait pour moi un bonne partie de jambes en l’air plus ou moins ratée aux dires de mes copines souvent déçues par les gars
    
    Elles ignoraient ma pratique particulière, je préférais agir seule dans mes endroits de prédilection, dans un parc, assise sur un banc, faisant semblant d’être absorbée par une revue, corsage dépatté juste ce qu’il faut alors que mes genoux s’ouvraient sur une petite culotte soigneusement virée de mes lèvres afin de l’épargner de ma mouille qui ne manquait pas de suinter dés que je ...
    ... devinais des yeux braqués sur moi
    
    Ou encore sur un vélo vêtue genre jupe de tennis et seins libres qui tressautaient au moindre chaos, les petits coups de klaxons ou des sifflements ravis m’excitaient terriblement, dés que j’avais accompli mon ‘exploit’ je choisissais un parcourt isolé, petite culotte dans la sacoche, afin de me toucher a loisir, tout en pédalant juste pour tenir l’équilibre car mes yeux étaient souvent clos par l’enchantement, au moment de l’explosion finale je posais les pieds a terre pour mouiller ma selle
    
    Quand j’ai eu ma première voiture j’aimais ouvrir ma portière en grand pour descendre jambes largement ouverte au passage d’hommes ou de couples pour taquiner la femme qui invectivait son mari parce qu’il n’avait rien raté de la vue que je lui offrais ! !
    
    C’est ainsi que j’ai rencontré celui qui allais devenir mon mari mais qui en même temps m’avait fait arrêter mon ‘sport’ favori, non parce qu’il me l’avait imposé mais parce que j’avais honte de lui dévoiler mon toc
    
    Pourtant Jérémie aimait bien voir mes genoux lors de nos déplacements en voiture, petit a petit j’ai remonté ma jupe ou ma robe jusqu'à la limite de ma petite culotte, un jour sur une route tranquille il m’a touchée la chatte que je lui offrais volontiers en m’écartant sans pudeur, de retour a la maison il a adoré sentir ma petite culotte souillée … depuis j’en porte rarement en sa compagnie !
    
    Depuis nos conversations tournent autour du sujet ‘exhibition’ sans jamais en parler ...
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