1. Grand Mere et Moi


    Datte: 25/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byblackkkkk, Source: Literotica

    ... histoire; quand elle a été pointée du doigt par son frère, je comprends que maintenant, mémé a d'autres considérations que celles-ci.
    
    Je me raisonne et mon désir s'affermi à nouveau. Donc je plante mon regard dans le sien. Son sourire si maternel me détend. Je me mets au défit de suivre ses réactions quand elle se laissera pénétrer. Je vais le faire très doucement pour qu'elle me voit bien lui faire çà, qu'elle ait tout son temps pour réaliser que c'est bien moi qui suis sur elle, qu'elle me sente bien durant tout le temps où je serai en elle.
    
    -Attends mon chéri, dit mémé en m'arrêtant!
    
    -Cà ne va pas?
    
    -Si, si, dit-elle en s'amusant!
    
    -C'est-à-dire? Il faut que je fasse comment?
    
    -Comme çà c'est bon j'ai remis de l'ordre, vas' y, maintenant tu peux!
    
    Ma grand-mère pose ses deux mains sur mes hanches pour me maintenir et certainement pour contrôler sa pénétration attendue. A peine je commence à passer la tête dans son couloir du plaisir, que j'entends mémé inspirer violemment une bouffée d'air, comme surprise par ce qui vient de lui arriver, en émettant un petit " Mmm" .Je ressens bien la rentrée de mon pénis dans son sexe, dont le glissement est d'un sublime sans pareil pour moi. Je la pénètre lentement, très lentement. Pas un mouvement ne se lit sur le visage de mémé. Elle me serre davantage pour que je remonte plus haut sur elle. Je voudrais tant qu'elle soit heureuse, qu'elle soit bien, qu'elle sache que je l'aime et que je ne lui ferai pas de mal, je ...
    ... fais çà par amour pour ma mémé...
    
    -Mon poussin...! Je me sens merveilleusement bien maintenant! Ma grand-mère totalement détendue me laisse aller et venir à ma guise. Petit à petit je perçois de légers sons qui émanent d'elle : de petites plaintes à peine audibles suivies d'une respiration toute aussi discrète, sa poitrine se soulève à peine sous mon torse. Brusquement des gémissements, limite rauques, se font entendre et la respiration devient plus prononcée mais toujours très étonnement effacée. J'aime, quand c'est possible, à regarder bouger des cuisses écartées pendant que je navigue dans un ventre. En admirant celles de mémé; je constate que la glace de l'armoire renvoie notre image en train de copuler. Je vois le travail de mon dos et de mes fesses qui montent et descendent sur ma grand-mère pendant que je suis couché dessus. Pour que les sensations soient à leur paroxysme, pour me frotter plus amplement je me pose sur les coudes et m'aidant de mes bouts de pieds pour entreprendre une glisse corps contre corps en collant complètement sur toutes les parties de notre peau, Je monte et descends le long de son corps. J'aime sentir des cuisses quand elles se frottent les unes aux autres.
    
    Aux mouvements de mémé je comprends qu'il me faut accélérer. Mais à ce stade le lit prend du plaisir et le fait savoir. Chaque fois que je poussefort, il craque.
    
    Mémé; les bras tendus à plat sur le lit, caresse doucement la couverture de ses doigts. A un moment elle tourne sa tête de ...
«12...456...»