1. 9 - Sex in the City


    Datte: 08/06/2018, Catégories: fh, hh, hbi, jeunes, couple, grossexe, sexshop, voiture, Oral hdanus, hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... va ressortir par ma bouche.
    
    — Oui, vas-y, baise-moi, prends-moi fort, tu vas me faire jouir comme ça.
    
    Je vis un film de cul sans caméra. Ce n’est pas de l’amour, c’est du sexe, il m’encule, du gel coule de partout, son gourdin me fait vibrer, et j’aime cela, j’en redemande.
    
    La pression monte, mais j’en veux encore. Ses couilles qui tombent sur mon scrotum et baignent dans le gel… j’ai l’impression qu’il m’a toujours enculé, qu’il connaît mon corps depuis des années, tant je frissonne, tant j’en tremble. Mais il veut maintenant m’entreprendre couché sur la table, et m’y installe sur le dos, prenant une jambe à l’équerre contre son buste, l’autre pendante. Lorsqu’il me pénètre de nouveau, son gland se place sur ma prostate, et une douce sensation se répand dans tout mon bas-ventre.
    
    — Je vais te faire jouir ce coup-ci, si tu veux, me dit-il.
    
    Et alors qu’il promène sa grosse queue très, très lentement dans mon ventre, il branle ma queue dégoulinante de gel avec fermeté.
    
    — Oh oui, c’est bon ta queue là, doucement dans mon cul. Tu m’encules bien, je vais jouir. Oui, continue à me mettre doucement, comme ça, oui.
    
    Cette fois, c’est moi qui le guide vers ma jouissance, lui indiquant ce dont j’ai besoin. Il se sert de sa hampe et de son gland comme un violoniste de son archet, m’emmenant à chaque pénétration un peu plus dans les nuages. Chaque coup de queue me transporte, et soudain, mon corps se tend d’un coup comme un arc, tétanisé. Sa main ne bouge plus, tenant ...
    ... mon gland bien décalotté, le frein tendu à rompre, et seul alors son vit, qui me semble soudain disproportionné, hypertrophié, bouge par petits coups de rein successifs dans mes entrailles.
    
    Mon cœur bat à rompre, ma gorge émet un grognement tandis que de violentes ondes de plaisir partent de mes fesses et de mon ventre pour se propager au travers de ma hampe jusque sur la peau de mon buste et de mon ventre lorsque de longues giclées de sperme s’y étalent. Je jouis avec une intensité inimaginable sous les petits coups de queue de mon amant, me vidant de toute ma substance, comme si sa verge et mon cul ne faisaient qu’un tout, soudés dans cette splendide étreinte. Oscar et Hervé me font vivre mon premier vrai orgasme anal, une véritable hémorragie séminale, je ne savais pas contenir autant de sperme.
    
    Immobile, impassible, son sexe tel une massue plantée en moi, il attend mon retour dans un parfait silence. Mon sphincter se relâche doucement, et lui permet alors de sortir sans me blesser. Délicatement, ma jambe, jusque-là contre son torse, est déposée, et c’est en entendant qu’il retire son préservatif que je rouvre les yeux. Sa splendide queue est là à quelques centimètres de mon visage, raide, gonflée, le méat perlant.
    
    — Regarde comme tu me fais bander ! Tu le veux, ou je t’asperge avec ?
    
    La tête sur le côté, de la main je lui prends la queue et la glisse entre mes lèvres pour recevoir sa bonne crème chaude. Ma main et ma bouche, associées dans cet acte, ont raison ...