9 - Sex in the City
Datte: 08/06/2018,
Catégories:
fh,
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Oral
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Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... bouche l’accueille avidement, ses doigts se posent sur ma tête, m’impliquant un rythme régulier et continu, un gros pompage.
— Oui, comme ça, pas trop vite, tu vas voir, je vais bientôt juter, je ne tiendrai pas très longtemps.
Bien que très gros, son mandrin coulisse parfaitement entre mes lèvres, son bout distendu fonçant chaque fois jusqu’à l’entrée de ma gorge. Il dirige ma bouche de ses mains pour me baiser jusqu’aux amygdales, fermement, certes, mais sans aucune brutalité.
— Putain, ta bouche est trop bonne, tu me pompes comme un dieu, je vais te remplir de mon foutre !
J’aime ses mots. Ils sont dynamisants, et jouent un rôle important dans cette conquête du plaisir. Stéphane m’avait donné des bases très saines, m’initiant avec beaucoup de respect. Et depuis, je découvrais d’autres méthodes, d’autres comportements. Je malaxe ses belles couilles, et me concentre sur ma succion de manière à ne pas faillir. Je suis bien, concentré sur sa grosse queue, et espère qu’Oscar ne va pas me décevoir, qu’il va bien m’arroser la glotte.
— J’espère que tu avales et que tu aimes le foutre, parce que je vais me vider les couilles, vas-y, oui, tu me pompes bien, oui, je viens, ohhhhhhhh, bois, oui, bois mon foutre !
Son gland gonfle, sa hampe vibre, et son sperme chaud gicle dans ma bouche, diffusant instantanément son goût si particulier, mélange de salé et de soufré un peu métallique. Je me sers de son mouvement comme d’un piston, déglutissant lorsqu’il recule pour ...
... pouvoir recevoir la dose suivante quand il se plante en moi. Puis on y retourne, copieusement, il me remplit de nouveau la gueule, et ses mains ne relâchent aucunement leur étreinte, comme pour me signifier qu’il en reste encore. Chaque aller-retour, lentement asséné, me livre un bon godet de semence, jusqu’au sixième coup de son bon gros boutoir.
Enfoncé au trois quarts, ses mains glissent sur ma nuque tout en me parlant d’une voix plus essoufflée, mais posée, me remerciant de bien lui avoir vidé ses couilles. Reprenant son souffle, il m’affirme que ma bouche n’a été que du bonheur, et que si je le désire, il me remplira mon beau petit cul.
Je le sens mollir lentement, ses bourses se font de nouveau plus pendantes dans ma main. Les quelques gouttes de semence restant dans son urètre me parviennent alors que je fais de petits mouvements tout doux, sa main dans mes cheveux.
— Tu aimes ça, hein, la bite ? Tu as frappé à la bonne porte, j’ai plein de foutre pour toi, regarde mes couilles comme elles sont grosses, pleines. Bouffe-moi-les, suce-les, oui, bouffe-moi bien les couilles.
Je me dis au fond de moiLà ? Il vient de décharger ! Et il en veut encore ? Soit ! Docilement, je m’exécute. Il a replié sa jambe et posé son pied sur le bureau, avancé son cul jusqu’au bord de la table, le buste en arrière afin de bien exposer son volumineux paquet. Il vient de jouir et malgré cela, il semble partant pour y retourner. Lorsqu’il parlait de mon cul, je m’imaginais… une autre ...