1. 9 - Sex in the City


    Datte: 08/06/2018, Catégories: fh, hh, hbi, jeunes, couple, grossexe, sexshop, voiture, Oral hdanus, hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... étant le dernier… il n’y avait plus qu’un seul voyant et le numéro s’affichait, évidemment ! Très naturellement, il voudrait savoir lequel des deux acteurs est à mon avis le mieux loti. Je lui réponds que si le plus âgé remporte un Oscar, je veux bien de la Palme d’Or !
    
    — Sympa comme réponse, tu peux m’appeler Oscar, si tu veux, dit-il en plaçant sa main sur son entrejambe.
    
    Je viens de voir une bonne grosse queue à l’écran, je ressors d’en bas le manque chevillé au ventre, et voilà que ce mec m’allume ! Je n’y crois pas.
    
    — Tu n’as pas le profil à te taper du troisième âge, entre nous, tu mérites mieux… Je ferme boutique dans quelques minutes, ose-t-il alors franchement.
    
    Ne me voyant pas offusqué, il se lève et va donner un coup de clef à la porte avant de revenir à sa caisse.
    
    — J’en ai une qui ne devrait pas te décevoir, me lance-t-il.
    
    Joignant le geste à la parole, il déboucle sa ceinture, baisse son pantalon et sort de son caleçon un sexe d’une beauté phénoménale. Bien qu’au repos, elle est déjà bien grosse, épaisse, le gland bien en relief sous un prépuce n’en laissant apparaître que le dernier quart et le méat. Sa toison pubienne ne fait que quelques millimètres, et de belles grosses couilles entièrement rasées également, maintiennent son gros bout à l’horizontale. Je ne peux que lui dire :
    
    — Euh… en effet, Oscar est très musclé ! Mais on ne peut pas faire grand-chose ici, en plein milieu de la boutique ?
    — Je ferme et coupe les lumières, et je ...
    ... te fais visiter la remise. OK ?
    
    Le mec est cool, direct, très sûr de lui… et briguer un Oscar ne se refuse pas dans une carrière de bitophile. Effectivement, l’éclairage de sécurité prend le relais, et je le suis. Nous passons derrière une gondole cachant une porte ouvrant sur une pièce borgne d’une quinzaine de mètres carrés. Des cartons, des sacs d’objets, des piles de revues meublent presque entièrement l’espace, mis à part un des coins occupé par une table faisant surtout office de bureau avec une chaise.
    
    Sans réellement se justifier, il m’explique qu’il se prénomme Hervé, et qu’il bosse ici quatre après-midi par semaine y compris le dimanche, que c’est purement alimentaire. Et qu’à vingt-deux ans, les voix off venant des cabines, les godes en vitrine et toute la littérature porno sous ses yeux ont un impact évident surOscar. Il n’est pas rare, une fois la boutique fermée, qu’il soit obligé de se branler ici même pour soulager ses tensions. Mais ce soir, lorsqu’il a vu que j’étais le dernier, jeune et tendre, il n’a pas hésité une seconde, ne risquant finalement qu’un refus.
    
    Je m’accroupis alors qu’il dégrafe son pantalon et baisse son caleçon pour me livrer son anatomie. Son sexe est vraiment très beau, mes mains s’en saisissent et découvrent sa douceur, caressent ses bonnes bourses toutes lisses. Déjà un début d’érection l’étire quelque peu, et la peau du prépuce se tend sous l’effet de la dilatation. Une main rassemble et serre ses testicules, l’autre à plat ...
«1234...10»