Un défi irréfléchi (1)
Datte: 08/06/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lipousics, Source: Xstory
Un défi irréfléchi !
Il m’a pénétré d’un seul coup de reins et maintenant, il me ramone à grand va-et-vient. Chaque fois que son sexe remonte en moi, il me remplit le ventre, je dois ouvrir la bouche et respirer au rythme de ses mouvements. Mon dos, mal protégé par un léger chemisier, racle les aspérités du mur, à s’écorcher.
Je l’avais bien cherché, ce grand gaillard était accoudé au comptoir de ce bistrot de quartier, avec deux copains style loubards de banlieue. Pantalon et blouson de cuir, chaînes et foulards au cou. Ils avaient chacun une chope de bière devant eux. Dehors, face au bar, leurs motos brillaient au soleil.
J’y étais entré avec une copine, prendre un café, après une journée épuisante à faire l’inventaire des archives. On y travaillait toutes les deux depuis trois jours, Chloé travaillait à l’accueil et moi, au secrétariat de notre boîte, une Start Up créée il y a quatre ans et les archives s’étaient accumulées, sans être jamais vraiment rangées ni ordonnées dans une pièce sans fenêtre mal ventilée.
A la sortie du travail, d’un commun accord, nous sommes allés toutes deux prendre un verre à ce bar où nous n’avions auparavant jamais mis les pieds. Nous nous sommes attablés près de la vitrine pour profiter du soleil, avons commandé chacune un café et entrepris de discuter sur tout ce qui restait à faire, dans ces satanées archives, on en avait notre claque de ces deux jours de travail pénible, surtout Chloé qui devait à tout bout de champ courir à ...
... l’accueil répondre aux appels téléphoniques.
Cet escogriffe, accoudé au comptoir, pérorait devant ses copains sur ses succès auprès de la gent féminine, c’était d’une voix forte qu’il racontait par le menu ses aventures d’un soir et plus particulièrement, sur sa dernière conquête. Ça m’a énervé, j’ai en horreur tous ces mecs qui se prennent pour le nombril du monde et avec ma gueule en avant, j’ai émis des doutes sérieux sur ce qu’il avançait. Je lui avais lancé sans autre forme de procès :
— Oui, c’est ça, tous les mêmes, fort en gueule et bon a c... lles, ça se vante à tout va et au lit, ça vaut pas un pet de lapin.
Ah, l’enfoiré, le ramonage, il le faisait foutrement bien, sa canne me défonçait les entrailles, me fouillait le moindre recoin de mon intimité. Mon clitoris y prenait sa part au passage.
Quand je suis allé aux toilettes, il m’avait suivi, je l’avais encore défié du regard, il s’est collé à moi, m’a coincé contre le mur et m’a palpé la poitrine, les yeux dans les yeux, j’étais dans le déni total du risque que je prenais, ce type, je ne le connaissais pas, je ne savais même pas son prénom.
Je voulais le pousser dans ses retranchements, jouer la provocation et frottais mon ventre contre le sien. Je ne suis pas prude, est-ce un défaut ? J’ai senti son sexe dur contre ma cuisse. Il me caresse le visage, passe sa main dans mes cheveux, puis dans ma nuque et m’embrasse sans attendre. Je sens une main sur mes fesses qui me les malaxe avec rudesse et le ...