Le bon traitement
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Marjolie Lebrac, Source: Hds
Je suis docteur en médecine générale… ou doctoresse si vous préférez. Fraîchement diplômée, je viens de commencer mon premier job comme urgentiste au centre hospitalier universitaire. La nuit dernière, alors que j’étais de garde, le “dispatch” m’a confié un homme se plaignant de douleurs au niveau de la verge…
Les urgences sont très calmes et je décide d’aller voir mon patient après que l’infirmière l’ait équipé d’une blouse d’hôpital, installé dans une chambre, sans oublier de lui prélever ses urines pour analyses…
L’homme qui se tient assis sur le lit dans la lumière douce de la pièce est un séduisant quadragénaire dont le visage un peu défait s’illumine instantanément en me voyant arriver. Je m’approche, je me présente et je commence à le questionner sur ses malheurs… Visiblement sous le charme, l’homme me déshabille discrètement du regard tout en m’expliquant, un peu gêné, que sa verge lui fait terriblement mal depuis la veille.
Je poursuis mon diagnostic et le fait se coucher sur le dos pour l’examiner. En tant que médecin, je suis formée à considérer mes patients de manière égale et avec une certaine distance, mais là, la perspective d’ausculter le sexe d’un aussi bel homme me fait déjà tourner la tête…
Avec mon plus beau sourire, je lui demande de relever sa blouse sur son torse et de dévoiler ses parties intimes à mon regard avisé. Le spectacle dépasse mes espérances. Un corps viril, des muscles finement dessinés et là, entre ses jambes, un sexe massif ...
... dont j’ose à peine imaginer la taille en érection.
Pour vérifier visuellement une éventuelle infection, je lui demande de décalotter son pénis… Un médecin évite en général de réaliser lui-même ce geste plutôt suggestif, même si, dans le cas présent, j’aurais volontiers ignoré la règle et décalotter moi-même sa belle queue de mes petites mains!
Un peu gêné, l’homme s’exécute en m’interrogeant: “Vous voyez un problème ?” Perdue dans mes pensées lubriques, j’observe longuement son gros gland rosâtre et fini par répondre: “Non rassurez-vous… tout est parfait…”.
J’attrape un gant en latex sur le plateau derrière moi en poursuivant: “Je vais pratiquer un toucher rectal pour contrôler si votre prostate est normale… C’est un examen de routine, ne vous inquiétez pas… Repliez et écartez légèrement vos jambes…”.
Un léger sourire aux lèvres, j’enfile le gant, attrape un tube de vaseline et enduit méticuleusement mon index sous son regard inquiet: “Détendez-vous… Je vous promet d’être douce…” Bien décidée à profiter de la situation, j’attrape délicatement son sexe d’une main, le soulève pour découvrir sons anus puis j’enfonce lentement mon index plein de vaseline entre ses belles fesses musclées…
Mon ventre papillonne tellement la situation est torride. Visiblement troublé, l’homme s’efforce tant bien que mal de maîtriser sa respiration. Sa prostate est parfaitement normale au toucher et, là où mes confrères mettraient normalement fin à la palpation, je décide de poursuivre en ...