1. L'étudiante (3/5)


    Datte: 08/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: BAGOU, Source: Hds

    ... des baisers sur tout le ventre en mordillant légèrement les chairs. Je descendis jusqu’à la lisière du pantalon en passant une main derrière le dos cambré de ma jeune partenaire. Je remontai vers le creux des seins dont je n’atteignis que la partie la plus évasée en raison de son vêtement en donnant tantôt des coups de langue, tantôt des baisers, lèvres fermés, sur tout ce m’était accessible de ses chairs. Elle n’émit pas un son ni ne bougea tant que je m’occupais ainsi de son corps à demi dénudé. Je mis fin à ce jeu pour venir l’embrasser de nouveau puis je dis : H (c’est l’initiale de son prénom), je voudrais tant te donner le plaisir que tu mérites. Je sais que tu es vierge. Je n’ai pas le droit de te dépuceler, tu courrais de grands risques d’être enceinte. Devinant qu’elle n’avait jamais vu un sexe d’homme hormis peut-être sur internet si tant est qu’elle ait internet à la maison, j’ajoutai dans un souffle pour ne pas me rétracter : je vais quand même te montrer mon sexe pour que tu voies comment est fait un homme. N’aie pas peur, je ne te toucherai pas avec. Ce disant, j’entrepris de baisser mon pantalon jusqu’aux chevilles puis, inversant nos positions je pris place sur le bord de la table-bureau tandis qu’elle était debout en face de moi, plongée dans un mélange de curiosité et de fascination. Ayant, ce disant, déjà baissé mon slip par derrière, j’entrepris de le faire aussi par devant dans un mouvement d’une lenteur calculée, mon pénis entravant l’opération tant ...
    ... il était tendu comme un pieu de tente à l’intérieur du slip. Le gland apparut puis la hampe, le tout presqu’à la verticale compte tenu de ma position. Je laissai ma jeune partenaire admirer cette verge circoncise puis, en lui prenant naturellement la main et sans mot dire, je la posai sur mon sexe qui palpitait sous la pression sanguine comme s’il faisait partie du cœur. Je gardai ma main sur la sienne afin de ne pas l’effaroucher. Elle se laissa faire. Je ne lui demandai ni de me masturber, ni de me caresser ; juste le contact de sa main sur ma verge. Reprenant mon souffle et dans le souci réel de l’instruire, je lui dis alors : maintenant je vais éjaculer dans ta main. N’aie crainte : c’est naturel et bon pour moi. Me concentrant sous l’effet de cette main immobile mais douce et chaude à souhait, je me laissai aller à mon plaisir. Ma semence fit un bon de plus de vingt centimètres au jugé et retomba, partie sur nos deux mains enlacées, partie sur le carrelage. Je pris délicatement la sienne et la portai à ma bouche toute couverte de ma semence pour la lécher, puis je présentai la mienne à ses lèvres. Ma jeune partenaire fit de même avec ma main par imitation. Aucune réaction de dégoût de sa part : elle lécha ma semence comme elle eût fait d’un trop-plein de sucre de quelque fruit trop mûr.
    
    Je me remis debout pour me rhabiller puis je déroulai la tunique de ma partenaire sur son ventre. Après un dernier baiser langoureux, je lui dis : H, sois gentille, ne reviens plus me ...