1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1225)


    Datte: 07/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... contribuaient à la collection d’œuvres sulfureuse D/s, aux côtés des histoires du célèbre Marquis de Sade dans la Bibliothèque du Château. Et puis qui ne rêverait pas de vivre dans un somptueux château, sans devoir dépenser un sous, idem pour la nourriture... totalement pris en charge, chérie et choyée par le fantôme des lieux, qui n'aspire qu'à te dominer et te donner du plaisir sans jamais aucune volonté à te nuire ou simplement te terrifier... Bien folle aurais-je été de refuser cela. ... Et puis comme je viens de le dire, je me découvrais des penchant masochistes puissants que je ne me connaissais pas. J’étais conquise devant Son Emprise, brûlante au fond de moi d'un désir inconnu de jouissance face à la douleur et qui me poussait à franchir le voile de l'imaginaire pour vivre réellement cette soumission totale. Avec comme guide Le spectre du Marquis d'Evans et ainsi découvrir tous les secrets de ce monde à part que tant de gens médissent et qui pourtant n'a rien à voir avec l'enfer ou même le paradis. Mais judicieusement c’est un subtil mélange des deux ou l'érotisme et le plaisir y sont rois. "
    
    Sandra était effarée par le récit de Carole, n'arrivant pas à comprendre son délire.
    
    "A nouveau je sursautais, mais en criant cette fois, qu'en-je vis voler dans les airs comme par magie puis sentis sur ma peau, la gerbe de cuir de trois douzaines de lanières, larges d'un bon centimètre environ pour chacune, longues de cinglantes, taillées dans un ancien cuir souple, ...
    ... et teintées en noir que le Marquis avait choisi pour me cingler brusquement les fesses. Ravivant la sensibilité de mes chairs préalablement assouplies par la cravache. Il me fouetta ainsi durant plusieurs minutes, toujours sur un rythme égal, assez lent, me réchauffant la peau et me la rougissant à nouveau, me procurant des sensations certes douloureuses, mais supportables, qui ne me faisaient nullement crier, mais seulement gémir, et réagir mon bas-ventre s’humidifiant de nouveau à plus que raison. Me déhanchant avec élégance, sans pour autant chercher à me dérober, me cambrant même pour offrir mieux encore ma croupe aux frappes sifflantes des lanières de cuir. C'était là une flagellation simulée ou d'amour, plus érotique, plus sensuelle que réellement torturante... En tout cas, les effets étaient absolument divins. Le claquement sourd de toutes ses lanières s'abattant ensemble sur les rondeurs de mes fesses, le choc de l'impact déprimant légèrement mes chairs blanches, l'onde de chaleur recrudescente me grisait véritablement. Mon excitation nerveuse et physique ne cessait de croître, le bas de mon pubis palpitait avec une irrégularité affolante, je me liquéfiais de plus en plus, serrant et frottant mes cuisses l'une sur l'autre pour me masser la vulve tout en offrant ma croupe le plus possible aux cinglées excitantes... qui à mon grand dam, s'interrompirent brusquement…
    
    - Non, n’arrêter pas... je vous en prie continuer..., l'ai-je de nouveau imploré…
    
    (A suivre …) 
«123»