1. Les vacances de Julie (3)


    Datte: 07/06/2018, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... pu m’empêcher de regarder mon sperme s’en écouler, et je n’ai pas pu non plus m’empêcher d’y mettre les doigts. Trois, précisément.
    
    Julie mouillait tellement que l’intromission de mes doigts était chose facile. Aussi ai-je voulu y mettre le quatrième, qui est rentré sans problème. Quant au cinquième, il a fallu être un peu plus délicat. Julie s’est mise à grogner, entre plaisir et douleur, mais a lâché un « Oh oui ! » lorsqu’elle a senti ma main enfoncé en elle, quasiment jusqu’au poignet.
    
    — Tu me rends folle, a-t-elle soufflé entre deux gémissements.
    
    Mais je ne voulais pas la rendre trop folle non plus. Alors j’ai retiré ma main de son vagin, y laissant un grand vide, et en la tirant par les cheveux, je l’ai forcée à se retourner. Je lui ai donné mes doigts à lécher, et Julie s’est empressée de le faire, les suçant comme s’il s’agissait de mon sexe, les prenant loin dans sa bouche et s’étouffant avec.
    
    Puis au loin, nous avons entendu une porte claquer. Ça a été la panique, et j’ai dit à Julie de se rhabiller en vitesse. Tout aussi vite, nous sommes sortis dans la rue, Julie avait encore les cheveux en vrac, la robe à moitié remise, et surement tout mon sperme qui coulait d’entre ses cuisses.
    
    Mais nous avons continué. De cette rue où nous avions pris énormément de plaisir, nous sommes remontés jusqu’au Plateau de la Croix-Rousse où nous nous sommes baladés un moment, et pris une pâtisserie dans une boulangerie du coin. Assis sur un banc, j’ai eu envie de ...
    ... glisser mes doigts sous la robe de Julie pour récupérer un peu plus de crème pour son goûter, mais la place était bondée. Nous avons alors redescendu les pentes de la Croix-Rousse, traversé le Rhône, emprunté à nouveau les Berges qui nous ont menés jusqu’au Parc de la Tête d’Or.
    
    Le Parc de la Tête d’Or, c’était l’endroit où j’avais passé le plus de temps étant gamin. J’y allais tout le temps, et je le connaissais comme ma poche. Alors après lui avoir fait faire un tour rapide du zoo, nous nous sommes posés sur une des nombreuses pelouses du parc. Nous sommes restés très sages. En plein mois de juillet, les lieux étaient plein d’enfants qui jouaient au ballons, de parents qui faisaient des pique-niques, ou de jeunes adultes buvant secrètement quelques bières. Bien sûr, ma main est un peu remontée sur la cuisse de Julie, à l’orée de sa robe, mais je ne suis pas allé trop haut.
    
    A la place, nous avons papoté, allongés dans l’herbe, ma main sur sa taille, la sienne dans mes cheveux. Je lui ai demandé jusqu’où elle était prête à aller pour moi.
    
    — N’importe où. Je ferai ce que tu me demandes de faire.
    
    — Même les choses les plus tordues et les plus humiliantes ? Tu sais que je suis un pervers…
    
    — Tout, je te dis. Fais moi faire tout ce que tu veux, je le ferai.
    
    — Et ça t’excitera, j’en suis sûr…
    
    Je l’ai embrassée langoureusement, sa réponse m’avait rempli de joie. J’avais des tonnes d’idées en tête, des tonnes de fantasme à assouvir, et seule une fille comme Julie avait ...
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