1. Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (4)


    Datte: 07/06/2018, Catégories: Trash, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... ouiii... encore... bourre-moi...
    
    Les premiers assauts de l’orgasme se répandaient, impétueux.
    
    - Maintenant ! Dit JP.
    
    Alors je vis s’approcher Martial et je compris le sens de leur conciliabule.
    
    - Sa...laud.... aahhhh.... t’es.....qu’un ....gros..... ouiiiiii, un gros....
    
    Je n’eus pas le temps d’achever. Martial déjà urinait sur mes seins que JP broyait de toute son ardeur. La pisse coulait et ruisselait vers mon cou, mon nombril et mes flancs, recouvrant de son souffle chaud le corps de JP. Gabriel se joint au premier.
    
    Les gars avaient bu de la bière et leur vessie respective était pleine comme une bonbonne.
    
    Pedro accéléra et, sans hésitation mit ses doigts sur mes hanches toutes trempées. J’étais au comble de l’orgasme, les gars pissaient encore.... et ma bouche grande ouverte gueulait des insanités avant que Gabriel ne la transforme l’espace d’un instant en urinoir.
    
    Les types se retirèrent, sans doute pour ne pas marcher dans la mare de pisse qui s’écoulait lentement vers la bonde de la douche. L’espace dégagé, Pedro vint se finir en secouant son dard au dessus de mon visage. Le sperme s’accrocha à mes narines ou me remplit les orbites, que je dégageais d’un coup de doigt.
    
    JP me souleva et m’entraina sur les tapis de sol. Il m’y prit en missionnaire sans m’avoir séchée et, en se contorsionnant, il parvint à m’embrasser dans le coup ou à sucer mes seins et ma peau couverts de pisse. Ses coups étaient violents. Il me démontait avec une force ...
    ... encore inégalée et pourtant il n’avait pas fait semblant jusqu’ici. Puis il se mit debout pour éjaculer au dessus de moi. Le sperme fusa très loin et je ne reçus que les dernières larmes expulsées avec moins de force.
    
    Alors il se pencha de nouveau sur moi, et me lécha intégralement le visage, m’embrassant dès qu’il avait assez de jus sur la langue.
    
    Quand il se retira, ce fut un concert d’applaudissements et de louanges. La douche fut collective mais Gabriel et martial refusèrent le savon de peur que l’odorat de leurs épouses ne s’étonne de ce parfum extra-conjugal.
    
    On but une dernier verre et les mecs sortirent en me remerciant chaleureusement.
    
    Comme Gabriel ouvrait la porte il se retourna :
    
    - Y’a un gars assis devant ta porte on dirait.
    
    Sans aucune gène, JP, toujours nu, vint voir.
    
    - C’est Rémi.
    
    Alors je me montrai à mon tour.
    
    - J’ai su que tu avais voulu une pizza, dit-il, j’espère que tu l’as eue. J’ai fini mon service, j’attendais devant ta porte pour m’en assurer. J’allais partir.
    
    Les autres mecs éclatèrent de rire, ne se méprenant évidemment pas sur le sens de la commande et la nature de la livraison.
    
    Je roulai une méga-pelle à JP en prenant bien le gros pacson dans ma main.
    
    - A plus.
    
    — Quand tu veux ma ...p’tite chatte !
    
    Je traversai, rentrai chez moi suivi de Rémi. Je fermai la porte. Fièrement tendue sortant de sa touffe de poils dont l’épaisseur me ravissait, la gaule du livreur aspirait à me rendre hommage. Je la pris dans la ...
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