Mon voisin est un gros porc et j'aime ça. (4)
Datte: 07/06/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... si c’était moi qui venait chez vous... j’sais pas pourquoi il a dit ça.
- Ah bon...
Je payai et me dit qu’il faudrait coucher avec le patron pour pouvoir disposer du commis à volonté.
J’eus envie de dire au livreur de demander à Rémi de passer après son service, mais je me retins.
Je laissai la pizza, fis le ménage de fond en combles pour me calmer et allai me coucher.
Je me fis plaisir mais si le clitoris répondit au quart de tour mais mes pauvres petits doigts ne purent satisfaire entièrement la faim inextinguible de mon vagin. Je léchai la table pour gober le sperme qui y était collé mais ne récoltai que le goût du bois verni.
Il était à peu près vingt trois heures quand, lasse de me doigter, pour un maigre résultat, je décidais d’aller chez Jean-Pierre. Je n’y tenais plus.
Là encore, comme avec le livreur de Pizza, je fantasmais en me projetant la scène à venir. Je l’imaginais dans son canapé, la bite en l’air en train de se mâter un porno. Je décidai de traverser le pallier nue. Avec un peu de chance, il n’aurait pas laissé sa clef sur la porte, j’entrerai d’un coup et irais m’agenouiller immédiatement devant la grosse queue pour lui rendre hommage. Puis je viendrai m’empaler sur le vit dressé pour un rodéo qui me ferait jouir comme il convenait.
Je pris donc me clefs et les siennes, entrouvris la porte et n’entendis rien dans la cage d’escalier si ce n’est une sourde rumeur qui venait de chez JP. Comme je le prévoyais, il était devant sa ...
... télé.
Je ne prenais pas de risque à y aller entièrement nue. Personne ne me verrait. Je traversai le pallier toute frémissante, les seins gonflés et les tétons durs et pointés comme de véritables petits détecteurs de bite.
La clef tourna je poussai la porte, entrai précipitamment en la refermant violemment derrière moi.
— Tu as gagné, prends-moi, dis-je en me tournant vers le canapé... vide.
Je portai alors mes regards vers le coin cuisine et je crus mourir de honte.
Quatre hommes étaient attablés, jouant aux cartes mais s’étant interrompus pour me regarder.
- Ben tu m’avais dis que tu viendrais pas ce soir !
- Oh excusez-moi ! dis-je en essayant de recouvrir ma toison d’une main et mes seins de l’autre, tout en faisant tomber mes clefs. - je ne savais pas que tu avais du monde.
Un gars demanda.
- C’est la fille dont tu nous as parlé ?
- Oui ! En même temps, une nana qui débarque à poil chez moi, j’pense qu’il n’y a pas suspense !
- Putain, t’as raison, elle est canon !
J’essayai de ramasser les clefs en balbutiant que j’allais les laisser mais, avant que j’ai pu tourner les talons, JP était déjà sur moi.
- Ah ! non tu vas pas nous laisser comme ça !
- J’vais revenir quand ils seront partie dis-je un peu affolée.
- Des couettes ! Tu arrives, tu nous chauffes et tu veux repartir ! Tu imagines ce que ça fait une belle pouliche à poil au milieu d’étalons fougueux, dit-il en sortant son sexe tendu de son survêt, allez, avance !
Et il me ...