ELLE
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
Masturbation
Mature,
Partouze / Groupe
Auteur: jacquesfauvet, Source: xHamster
... branlant comme une chienne lubrique, tu es toute à moi, je t’ai photographiée, je distribuerai tes photos de catin à qui le voudra. Et un ami est là, qui continue à prendre des photos, et que tu feras jouir, tantôt, devant moi, pour me plaire… »
ELLE ne répond rien, elle sourit, presse ses seins autour de la biroute royale, elle se penche pour en agacer le gland avec le bout de sa langue, pour y recueillir les premières gouttes annonceuses de foutre. Elle enfonce un ongle dans le méat, le fait rouler et mouille en entendant son amour gémir de plaisir.
Elle se sait photographiée, elle se lève, vite, met de la lingerie pour être encore plus excitante, pour donner envie à cet homme de la rejoindre, vite, d’abandonner son appareil photo et de venir oui offrir son petit oiseau…
Mais le photographe ne bronche pas, il tourne autour du couple, il multiplie les clichés, et ELLE, d’une main ferme et puissante, branle la queue de l’homme aimé, elle lui empoigne les couilles, elle les presse, elle les étire, elle les pince… Et lui, sans hésiter, plaque sa main brutalement sur sa cramouille juteuse, se penche pour aller téter ses mamelons érigés, pour les mordre et la faire un peu crier de douleur et d’excitation.
Elle le suce, aussi, elle lui gobe les couilles, elle mordille ses tétons mâles, et elle jouit, ...
... comme elle le voulait, comme elle en rêvait… elle pisse son plaisir sur les doigts fouisseurs de son amour…
Elle est sa chienne, elle lui appartient.
Et lui, il est à elle, il lui appartient aussi…
Lui, il doit jouir, aussi, mais comme elle, en se donnant, en se livrant, en se faisant presque pédé devant le photographe qui arrêt ses photos et se dénude.
Il lui dit : « fais de moi ce que tu veux, ma bite, mes couilles, mon cul, tout cela est à toi, à tes jeux de salope, de maîtresse…
Et ELLE assouvit ses fantasmes, elle lèche le trou du cul de son amant, elle le lubrifie avec sa salive épaisse et brûlante, elle y enfonce un doigt, un deuxième… Elle prend un vibro, elle l’enfonce, à petits coups, dans le croupion qui lui est ainsi offert.
A quatre pattes, les seins et le ventre pendouillants, la chagatte pisseuse, elle baise son amant, son amour, elle le fait trembler, gémir, crier, elle le fait jouir, elle recueille, gourmande, sur le bout de sa langue, son foutre abondant et torride.
Et lui, il sourit, heureux, il fait un signe au photographe…
Au photographe qui s’approche… Nu, la bite dressée, les couilles bien remplies.
Et ELLE ne rêve plus, elle ferme les yeux et engloutit jusqu’à la garde cette pine dont elle va avaler tout le foutre, avant de jouer à s’aimer, encore et encore, à trois…