1. Hélène (24)


    Datte: 06/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... un verre de champagne à la main avec ces dames dont je ne sais si elles sont des collaboratrices ou des épouses de collègues. Mais je me lasse assez vite de ces bavardages.
    
    Je me suis éloignée dans les toilettes pour me repoudrer le nez. Je suis penchée au-dessus du lavabo quand j’entends un petit
    
    — Excusez-moi.
    
    — Je me retourne
    
    — Bonjour, vous êtes Hélène, la compagne de Pierre ?
    
    — Oui, et vous.
    
    — Je suis l’épouse du patron, Mélanie, mais vous pouvez m’appelez Mel.
    
    — Enchanté, Mel, comme une des spice girls.
    
    — Tout à fait.
    
    Je l’examine, à part son surnom, elle n’a rien d’une star de la pop. C’est une mature blonde, environ quarante-cinq, presque dix ans de moins que moi, et opulente, à la peau légèrement halée, cheveux coupés avec un carré souple. Elle porte ses lunettes comme un cerceau dans ces cheveux.
    
    Elle a de beaux yeux marron clair, presque dorés, mais avec une légère cerne sous les paupières. Son front est légèrement bombé, à peine marqué d’une ou deux ridules.
    
    Un nez droit, une bouche bien ourlée, mais avec deux plis amers sur le côté des lèvres. Ses joues sont pleines, pas encore tombantes, un menton un peu gras, le tout forme un visage doux mais triste.
    
    Elle est un peu plus grande que moi, avec des formes peut être plus marquées, sa tenue la boudine un peu à la taille. Son chemisier, ouvert au deuxième bouton dévoile le haut d’une poitrine généreuse.
    
    Sa blondeur, ses formes et sa peau pale, évoque irrésistiblement une ...
    ... belle flamand.
    
    ,
    
    — Vous avez tiré le bon numéro avec Pierre.
    
    — Et vous avec le boss. Lui réponds-je
    
    — Il ne fait plus attention à moi, alors que votre compagnon a l’air de vous être sincèrement attaché.
    
    — Mais je fais ce qu’il faut pour qu’il n’en regarde aucune autre. Et vous n’imaginez pas ce qu’il me demande.
    
    — Ne me dites pas que...
    
    — N’imaginez rien. Mon chéri n’aime que les femmes soignées. Avec lui pas question de traîner en robe de chambre en pilou.
    
    — Mais je fais des efforts, me répond-elle
    
    Je la regarde, elle porte un joli tailleur corail avec une jupe au genou, porté sur un beau chemisier pêche. Une harmonie classique, mais trop passe–partout, qui fait ton sur ton avec sa blondeur et sa peau claire, Et puis, il y a quelque chose qui cloche.
    
    — Je crois que vous êtes trop ajustée. On voit la marque de votre culotte.
    
    — Mais c’est vrai, fait-elle en se regardant dans le miroir qui orne un des murs des toilettes
    
    — Mais qu’est-ce que je peux faire ? Reprend-elle
    
    — Enlevez la. Lui répond-je tout-à-trac, sans réfléchir.
    
    — Comment ça,
    
    — Allez dans les cabines !
    
    —
    
    Elle hésite, puis elle s’enferme.
    
    Je suis surprise de ma propre audace. Je vais m’enfuir en douce quand...
    
    — Qu’est-ce que vous en pensez.
    
    —
    
    Je me retourne. Elle est là un peu gauche, rougissante.
    
    — Ça va ?
    
    — Oui, c’est très bien. Approchez-vous, je vais vous arranger un peu.
    
    —
    
    Je lui déboutonne sa veste. Puis je tire un peu le bas de son ...
«1234...»