La belle des champs envoie des MMS coquins - Histoires de Sexe

La belle des champs envoie des MMS coquins

... trempée.

Puis je suis devenu acteur de la situation quand j’ai reçu ce SMS :

« Chéri je suis hyper chaude, j’ai besoin de plus de sensation, cela ne me suffit pas. Tu aurais une solution pour m’aider ? »

Je lui ai répondu : « Tu as de magnifiques fruits accrochés sur les maïs, cela peut servir… »

Pas de réponse pendant quelques minutes et puis :

« Je vois que tu penses à la même chose que moi, tu préfères dans cette situation là ou celle-ci ? »

Les photos que j’ai reçues étaient sublimes, je pouvais voir sur une première ma femme assise sur son vélo et qui s’enfilait un épis maïs et sur la deuxième je pouvais la voir à quatre pattes avec le même épis bien planté dans son intimité.

J’ai répondu que la position à quatre pattes me plaisait le plus mais que je la saurai totalement comblé avec tous ses trous remplis.

Plus de nouvelles pendant dix minutes, je me suis dit que j’avais dû la choquer et qu’elle s’était stoppée net.

Puis le message tant attendu arriva :

« Comment va tue profusion »

Au début je n’ai pas compris mais ensuite j’ai compris que le correcteur automatique de son portable lui avait joué des tours et qu’elle avait la tête ailleurs au moment de l’écriture.

Le message que j’aurai du lire était « Comme ça ...

... tu préfères ? » et il y avait une photo où elle était toujours à quatre pattes avec son god rose planté dans son petit cul et l’épis de maïs planté dans sa chatte.

Comme j’aurai aimé être avec elle mais je devais être au bureau devant mes dossiers qui me fatiguaient.

Le dernier message que j’ai reçu était :

« Je me suis bien amusé dommage que tu n’étais pas là » avec comme dernière photo une petite flaque humide entre ses jambes. Elle s’était encore une fois fait gicler. J’adore ma petite fontaine de femme.

La seule réponse que j’ai pu lui envoyer était :

« Récupère bien car je suis bien chaud après tout cela ».

Plus de nouvelles de sa part. Je termine ma journée comme je peux et je rentre à la maison.

Je trouve ma femme toujours habillée de sa robe de l’après-midi et je devine qu’elle ne porte rien dessous en voyant ses tétons qui pointent à travers le tissu.

Nous mangeons comme si de rien était, tout le monde au lit.

Elle a peine le temps de redescendre dans le salon que je lui saute dessus et que je lui fais l’amour.

Ce fut très bon, très intense.

Elle m’a promise de m’emmener dans ce petit champ avec que les maïs ne soient coupés.

Je vais devoir poser une demi-journée de congé pour assister à cela.

(A suivre…)