Contrainte 01 - Les Deux Amis
Datte: 06/06/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... prit le chemin du clubhouse, passa devant deux types maintenant sur le banc, puis devant les deux joueurs du premier cours. Elle les entendit rire, peut-être pour irréaliser la situation tellement incongrue.
Elle entra dans la grande salle d'accueil. Un type devant le bar et un autre derrière le bar. Elle ôta discrètement le bâillon pour commander les boissons. Lorsqu'elle quitta le bar, elle entendit les types éclater de rire.
- Elle n'a pas froid aux fesses, celle-là... oh la salope... Jamais vu ça depuis que je viens ici!
Elle refit le chemin vers les cours et cette fois passa devant un attroupement de six personnes, dont une femme. Elle dut refaire une partie pendant un bon quart d'heure encore avant qu'enfin elle puisse partir.
- N'oublie pas de récupérer ton imper chez ton voisin, avait crié Francis... Mais... SANS TA JUPE!
Epuisée, mortifiée, elle courut à sa voiture. Lorsqu'elle arriva à son immeuble, elle était encore morte d'inquiétude. L'idée de sonner, quasiment nue, à la porte de son voisin la terrorisait, même si elle venait de passer des moments déjà bien honteux. Pour ne rencontrer personne, elle prit les escaliers plutôt que l'ascenseur. Arrivée à son palier de 4 appartements, elle ôta sa jupe et sonna chez son voisin. Elle savait bien que Francis ou l'autre prendraient soin de vérifier qu'elle avait enlevé le vêtement avant de sonner.
Dans le silence du palier, elle eut le temps ...
... de penser aux événements. « Quelle honte de me retrouver comme ça... ici... Il va se dépêcher l'abruti de voisin... Il doit être aussi tordu que Francis... ». La porte ne s'ouvrait toujours pas. Elle sonna à nouveau en sursautant au bruit résonnant dans le silence de l'endroit. « Pourvu que personne ne vienne, que personne ne sorte! ». Elle ne savait pas que le voisin était collé à l'œilleton. « Putain la salope! A poils dans le hall... Elle n'a pas froid aux yeux... Pas rasée... Poilue la cochonne... ». Soudain, elle se souvint de ce qu'il avait dit : « Surveillez l'escalier ». Elle en comprit alors le sens et se tourna vers l'escalier au grand plaisir de l'œil : « Oh ce cul! Magnifique... Incroyable... Faudra que je l'encule cette garce...».
Enfin, il ouvrit la porte. Il avait son sexe entre les mains et le masturbait sans se gêner.
- Donnez-moi mon imper, s'il vous plaît!
- Ouais... Patience... Je vais le chercher.
Comme il s'éloignait de la porte, elle entra et referma derrière elle. Il revint avec le vêtement.
- Tenez, le voici... Et la prochaine fois que vous venez me voir, je veux la même tenue! Vous avez bien compris?... Et avec des talon-aiguilles noirs de 12 cm au moins... NOIRS... 12 centimètres.
Elle acquiesça, se couvrit et rentra enfin chez elle.
« Rêve connard! Si tu crois que je vais me repointer chez toi! »
Hélas pour elle, c'était sans compter sur la fourberie de ses maîtres.