Trieur de souvenirs
Datte: 06/06/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
Collègues / Travail
amour,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
portrait,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... Sébastien, elle prend sa main et l’invite à la suivre vers le centre de la pièce, recouvert d’un épais tapis de laine. Elle s’agenouille face à la fenêtre et le fait s’allonger sur le dos à côté d’elle, puis elle remonte les pans de sa robe jusqu’à sa taille et glisse le gode entre ses cuisses, jusqu’à ce que la pointe vienne effleurer son intimité.
Avant de se laisser complètement aller, elle regarde le jeune homme interloqué. D’un geste de l’index sur ses lèvres, elle lui intime de garder le silence quoi qu’il arrive.
Alors seulement elle ferme les yeux et commence très lentement à introduire le membre de bois entre les lèvres de son sexe. Elle prend tout son temps pour profiter de la lente pénétration. Chaque parcelle de sa chatte déjà moite redécouvre, à l’instant même où la tige la frôle, ce qu’elle ressentait lorsque l’homme plongeait en elle. Spontanément, son vagin se serre autour du membre et commence le lent massage intime qu’elle lui offrait pour l’exciter plus encore. Il n’est plus là pour lui répondre par quelque secousse de plaisir ou un discret soupir. Peu importe, elle tapote du bout des doigts contre le bas du gode, et retrouve presque immédiatement les frissons par lesquels il savait délicieusement augmenter son plaisir.
Sa respiration s’accélère, son visage retrouve des couleurs que le chagrin avait effacées, les pointes de ses seins se dressent sous le tissu de la robe.
Pour la première fois de sa vie, Sébastien est impliqué dans un acte ...
... d’amour dont aucun détail ne lui est épargné, sans qu’il puisse réellement y participer. Il ne se délecte pas moins de l’excitation qui grandit dans le corps de la femme, et son membre est bientôt aussi dur que la tige qui monte et descend en elle.
En réalité, à part quelques crispations des lèvres et de discrets clignements des paupières au moment où le bout du gode touche ses parois intimes et dilate son vagin, rien de ce qui se passe dans le corps de la femme n’est réellement visible. Pourtant, tout ce qu’exprime son visage ainsi que la chaleur qui émane d’elle sont des signaux infiniment plus excitants que n’importe quel cri de plaisir ou geste d’impatience amoureuse.
Le jeune homme se sent devenir fou de désir pour cette sublime femelle, qui s’offre avec la plus totale impudeur aux caresses d’un amant dont elle seule semble percevoir la présence. Il se retient pourtant de tout mouvement, de tout geste, pour ne pas interrompre cette célébration amoureuse.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Embrochée sur le sexe sculpté, la femme est devenue prêtresse. Par tous les pores de sa peau, par la béance de son sexe, par les gémissements qui s’échappent de ses lèvres comme d’interminables litanies, elle invoque les esprits. Et elle sait son amour encore si fort, si vivant, qu’elle ne doute pas un instant de voir ses suppliques exaucées.
Elle se caresse maintenant à un rythme endiablé. L’instant des retrouvailles approche, son ventre s’enflamme un peu plus à chaque ...