La patronne
Datte: 06/06/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
init,
confession,
inithf,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... moitié boutonné qui bâille sur ses seins largement découverts. Les mamelons percent le tissu léger.
— À ta santé ! Et merci pour le coup de main. Au fait, on se connaît mal.
Elle me pose des questions sur ma vie, mes études, mes ambitions, mes goûts. Je lui réponds simplement. Elle ne cesse de me regarder et je me rends compte qu’elle baisse les yeux vers mon pantalon qui forme une bosse à l’endroit de la braguette. C’est vrai que sa tenue à moitié déshabillée me trouble très fort et me fait bander. Elle soupire et me demande à brûle-pourpoint si j’ai une petite amie.
— Non, seulement une copine. Je ne sors jamais seul mais avec des copains.
— Et la jeune fille ?
— Elle sort avec nous. Et d’autres filles aussi.
— Tu n’as jamais essayé d’en draguer une ? Tu m’as l’air d’être un garçon bien sage. Tu t’intéresses aux filles, quand même ?
— Oui, un peu, mais je n’ai pas beaucoup le temps de batifoler. Je préfère réussir mes examens. Les sorties, c’est pour les vacances.
Elle rit et son rire sonore est communicatif.
— Sais-tu que tu me plais beaucoup ?
Elle pose sur ma cuisse sa main qui remonte jusqu’à ma fourche et se penche vers moi tout en me caressant à travers le tissu.
— Tu peux bien m’embrasser, tu sais, je ne te mangerai pas. Quoique…
Avant d’avoir ma réponse, elle me prend la tête et approche sa bouche qu’elle pose sur la mienne. Je sens alors sa langue qui passe sur mes lèvres. Elle s’écarte un peu.
— Tu n’as jamais embrassé une fille ...
... ?
— Si, mais jamais comme ça.
— Je vais t’apprendre à embrasser une femme pour lui faire comprendre qu’on a envie de la baiser. Embrasse-moi, donne-moi ta langue, pousse-la dans ma bouche et frotte-la contre la mienne.
Elle relève sa jupe, découvrant sa petite culotte rose, m’attire contre elle, passe ses bras autour de mon cou et, se renversant sur le divan, elle me couche sur elle en ouvrant ses jambes qu’elle passe autour de mes reins, me retenant ainsi prisonnier. Notre baiser de plus en plus passionné fait gonfler ma bite. Elle s’en rend compte.
— Je sens quelque chose de dur contre mon ventre. Ne serait-ce pas ta pine, par hasard ?
Je ne réponds rien. Elle insiste.
— Bon dieu ! Comme tu bandes. Je sens que ce sera quelque chose de bon quand tu l’enfonceras dans ma cramouille.
J’essaie de me libérer, mais elle me tient bien. Elle ondule et me fait sentir son mont de Vénus qu’elle a bien bombé. D’ailleurs, sa jupe moulante épouse ses formes avec beaucoup de précision. Je me sens très excité et j’ai aussi l’impression de vivre en-dehors de la réalité. Je gamberge. Voilà ma patronne qui me drague et qui me fait comprendre ouvertement qu’elle a envie de faire l’amour avec moi. Est-ce possible ?
— À quoi penses-tu ? me dit-elle soudain, me tirant de mes réflexions.
— À ce qu’il m’arrive.
— Pourquoi ? Cela ne te plaît pas ? Ça te gêne ?
— Ben non.
— Tu as peur de quelque chose ?
— Tu ne vas pas me congédier si je ne suis pas à la hauteur ?
— Grand fou ! ...