1. Vacance chez mon oncle. Cinquième partie.


    Datte: 05/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CrazyJoz, Source: xHamster

    ... seins contre mon torse était une sensation agréable, mais il le fallait.
    
    Aussitôt Jessica partit, Maria me dévisagea de la tête aux pieds.
    
    « Le bandeau ? »
    
    Je le sortis de ma poche. Maria le prit et le posa sur mes yeux.
    
    « Tu vois rien ?
    
    — Rien du tout, maîtresse.
    
    — Bien »
    
    Je sentis ses lèvres frôler les miennes. Elle glissa sa main sur mon entrejambe pour constater que je ne portais rien en dessous.
    
    « Parfait ! »
    
    Elle retira le bandeau et le glissa dans son sac. Je m’attardai sur sa tenue, elle portait un long manteau bleu, impossible de dire ce qu’il se cachait en dessous. Je n’apercevais que ses talons aiguilles et le bas de son collant noir.
    
    Jessica redescendit quelques minutes plus tard, elle portait une robe de soirée vert pomme, mes yeux s’attardèrent sur ses jambes, fines et douces, sa robe s’arrêtait à la limite de ses fesses. Elle me sourit, je ne pus m’empêcher de la déshabiller du regard, une robe courte, un décolleté plongeant montrant le galbe parfait de ses seins... L’excitation montait en moi, je devais pourtant me contenir.
    
    Maria conduisait, Jessica et moi étions assis à l’arrière. Je voulus connaître notre destination, mais Jessica se montra aussi mystérieuse que sa mère. Comprenant que je ne saurais rien avant d’y être, je changeai de sujet et complimentai la tenue de Jessica. Sa main prit la mienne et elle m’embrassa discrètement.
    
    Maria jetait de rapides coups d’œil dans son rétro, visiblement elle n’était pas encore ...
    ... sereine à l’idée de devoir me partager. C’était pourtant elle qui m’avait fait venir ce soir.
    
    Ma main parcourait les jambes de Jessica, je remontais jusqu’au bord de sa robe. Elle voulut serrer les jambes dans un premier temps, puis se décida à les ouvrir légèrement. Mes doigts glissèrent jusqu’à sentir la douceur de son vagin, elle ne portait rien en dessous. Mon sexe durcit aussitôt.
    
    Je la caressais ainsi de longues minutes, laissant mes doigts parcourir son sexe, dessinant de petits cercles sur son clitoris. La position n’était pas idéale dans la voiture, mais elle ne voulait pas s’offrir en spectacle devant Maria…
    
    La voiture ralentit et entra sur un parking, Jessica sursauta et réajusta sa robe, j’en déduisis que nous avions atteint notre destination.
    
    Jessica se colla contre moi tandis que Maria passa devant nous. Il y avait plusieurs voitures sur le parking, mais je ne distinguais rien d’autre. Nous empruntâmes un petit chemin qui traversait un jardin, j’aperçus du coin de l’œil un homme assis sur un banc, une femme était à genoux devant lui. Un peu plus loin, nous croisâmes deux hommes nus, ils s’embrassaient contre une haie.
    
    Enfin, nous quittions le jardin pour arriver devant une maison immense. Un panneau à l’entrée indiquait le nom de la résidence « sex paradise ».
    
    Je sentis une main me pincer les fesses, surpris, je fis volte-face et me trouvai en face d’Arthur, mon oncle.
    
    « Ça te moule plutôt bien ce truc ! me lança-t-il. »
    
    Jessica, tout aussi ...
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